Extraits du journal de Marianne
Datte: 20/07/2017,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
Partouze / Groupe
fsodo,
... Maintenant que te voici un garçon, je te prendrais aussi dans ta bouche. Et la nuit je t’enculerai encore plus souvent. À propos il te faut un prénom de garçon : ce sera Marc, plus facile pour toi car il commence par la même syllabe. Et puis c’est le prénom de ton mari, tu y es habituée. Oh Marc ! J’ai reçu comme un coup de poing dans le ventre. Depuis que je suis à Seignosse, je n’ai plus pensé à toi comme mon mari et amant, au plus un confident, et voici que c’est mon amant qui me rappelle ton nom. Et mon corps a réagi en jouissant presque devant tout ce monde qui nous entoure. Mes seins sont devenus durs. Même Pierre l’a remarqué et m’a dit : — Attention, Marc, on va voir que tu as des seins de fille. Mais que faire ! Je me suis calmée lentement et nous sommes rentrés. Extrait n° Vingt-Trois De retour au gîte, nous faisons connaissance avec nos nouveaux voisins en train d’emménager. Un bien étrange couple. Elle, Agnès, a les cheveux bruns coiffés mi-long, des yeux bleus, une peau très blanche presque transparente. Elle est habillée d’une simple robe bleu roi sous laquelle ses seins pointent souples et arrogants. Lui, à peine plus âgé, semble-t-il, a revêtu une tenue stricte : chemise bleu claire et pantalon. Ses cheveux blonds sont coiffés d’une raie de côté. Il est plus grand qu’elle d’une tête et des membres déliés. Un sourire accueillant et des yeux intelligents. Avec Pierre ils ont tout de suite parlé physique, plus tard je découvrirai qu’il est astronome. Agnès ne ...
... dit rien mais ne me quitte pas des yeux. Me rappelant que je suis un garçon, je trouve son attitude presque provocante : en présence de son mari, ou ami, ou amant… Et je sens une pulsion me pousser à la désirer, à lui faire l’amour. C’est vraiment la première fois que mon désir est si précis. Je ne l’avouerai à Pierre que ce soir. Extrait n° Vingt-Quatre Nous finissons de dîner dans un petit restaurant-dancing des environs lorsque je vois arriver nos amis. Devant mon air étonné Pierre me dit qu’il leur avait proposé de se joindre à nous. Avant qu’ils ne nous rejoignent, je confie à Pierre le désir que j’ai ressenti pour Agnès et, me levant je conclus : — Je vais l’inviter à danser, attend-moi à la table, je dirai à Dino que tu l’attends. Dans un brouillard je l’entends me répondre : — Marc, tu es merveilleux. Si tu étais une fille je te baiserais sur le champ. Mon corps s’est raidi de surprise ; un instant plus tard, je traverse la salle vers celle que je désire. Agnès ne fait aucune difficulté. Peut-être même est-elle ravie. Elle se retrouve entre mes bras, légèrement plus petite que moi et place son bras autour de mon épaule. Je ne dis rien, tout au plaisir de la contempler. Elle porte un petit boléro doré et une mini jupe plissée bleu foncé. Adorable ! Son visage se lève vers le mien en attente. Je me noie dans ses yeux, oubliant la danse que je conduis dans une demi-inconscience. La piste de danse est dans une demi-obscurité mais en passant près de Pierre qui nous regarde, ...