1. Extraits du journal de Marianne


    Datte: 20/07/2017, Catégories: fh, ff, fhh, Partouze / Groupe fsodo,

    ... j’embrasse doucement Agnès sur les lèvres. Dino nous tourne le dos. Elle répond à mon baiser avec douceur. Je ne sais comment te décrire mon émotion. Je suis en train de conquérir cette fille adorable. Un instant, j’ai essayé d’imaginer ce qu’un garçon pouvait ressentir en se mettant à bander d’émotion, lorsque sa partenaire se rend. Bon, mais je ne suis qu’une fille et le désir de Pierre ne peut pas me procurer un pénis ! Notre soirée se poursuit, ponctuée de danses avec Agnès et de longues conversations à table avec les deux garçons. Avant de partir je propose une dernière danse. Pierre et Dino sourient. C’est un slow, Agnès se serre contre moi et doucement ma main descend vers sa taille où elle rencontre la douceur de sa peau. Lentement ma main remonte vers ses seins qui l’attirent. Tant pis pour ceux qui nous regardent. Seul mon désir et Pierre m’importent et je sais qu’il apprécie. Je suis sûre qu’il me fera l’amour toute la nuit, comme à un garçon. Agnès se renverse en arrière et ferme ses yeux. Mes doigts rencontrent les premiers seins de fille que je toucherai. J’ai presque un orgasme d’émotion. La peau s’enfonce avec douceur sous ma pression et j’effleure les bouts durcis. Je ferme les yeux à mon tour. La fin de la musique nous surprend toutes deux et nous mettons un moment à reprendre contenance. Extrait n° Vingt-Cinq Oh Marc ! Finalement c’est à cause de moi que tout a commencé ! Nous sommes allongés sur nos serviettes dans un coin retiré de l’immense plage et ...
    ... nous contemplons l’éclat de la lune sur l’océan en mouvement. D’étranges formes surgissent de la nuit. Il fait doux. Je suis entourée de Pierre et d’Agnès. Dino est à côté de Pierre et tous deux parlent à voix basse. Les jours précédents nous étions souvent ensemble à nager, marcher, jouer au ballon ou discuter sans fin mais je n’avais pas touché Agnès. Je gardais un souvenir étrange, presque irréel, de la douceur de sa peau et je la désirais sourdement. La peau de ses seins dévoilés et de ses jambes paraît encore plus claire sous cette lumière fantomatique, et les astres, piqués dans le ciel d’un noir laiteux, m’évoquent soudain ce poème que tu aimais parfois me réciter, Marc : Tant-pis, j’en ai trop envie, ma main avance doucement jusqu’à rencontrer le haut de ses jambes et ce contact me fait l’effet d’une petite décharge électrique. Agnès ne bouge pas alors que mes doigts se déplacent lentement sur sa peau. La présence des deux garçons ne la gêne pas - ou l’excite ? Je me tourne sur le côté vers elle, permettant à mon autre main de parcourir son corps. Et je retrouve la douceur et l’élasticité de ses seins. Et la dureté des bouts qui s’érigent brusquement à mon contact. Et leur forme, nouvelle pour moi, qui remplit le creux de mes mains. Je vois son visage, ses yeux se ferment, sa peau se hérisse de mille petites pointes témoins de son plaisir. Mon émotion et mon plaisir sont aussi présents et j’oublie, moi aussi, nos compagnons. Je suis sûre que Pierre est ravi de la ...
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