Extraits du journal de Marianne
Datte: 20/07/2017,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
Partouze / Groupe
fsodo,
... mon cerveau en ébullition. Extrait n° Sept Toute la semaine Marc m’a fait l’amour matin et soir de toutes les façons imaginables. Il n’a pas pu se libérer à midi. Au delà du plaisir qu’il me donnait et de l’amour qu’il me portait, j’étais très fière d’être capable de rendre un homme si heureux avec mon corps et mon propre amour. Chaque fois une idée venait me saisir : serais-je capable de donner autant de plaisir à deux amants ? Mais nous voici de nouveau lundi. Pierre est ici, toujours décontracté, assurant son travail auprès des étudiants-chercheurs, tout mon esprit est tendu vers lui. Que va-t-il me demander ? Là, c’est vraiment la surprise : — Marianne, à midi, tu viens avec moi, je te dépose chez toi, tu passes prendre quelques affaires et nous prenons le train pour Lyon. Nous reviendrons mercredi par le train de onze heures trente. Préviens ton mari en lui laissant un petit mot ou en lui téléphonant. Je vais, enfin, pouvoir te faire l’amour tout à mon aise et te posséder comme j’en ai envie. Une seconde, je me rebiffe, se croit-il mon maître ? Mais mes velléités de résistance fondent sous son regard et j’acquiesce. Il ne m’a même pas donné de raison de ce brusque voyage. Il va falloir que je trouve un prétexte pour dire cela à Marc. Je préfère lui laisser un petit mot tout amoureux où il lira certainement mon émotion. De toute façon, il est en cours jusqu’à une heure. Un instant, à la maison, en voyant notre lit, je me suis dit "je suis folle, je vais tromper Marc qui ...
... m’adore et me rend si heureuse pour confier mon corps à un garçon qui parle de me faire l’amour sans avoir prononcé un seul "je t’aime", sans avoir regardé mes seins." Au moment où je m’approche de la fenêtre pour faire signe à Pierre que je renonce, mon corps s’est mis à protester comme s’il demandait son dû, les pointes de mes seins ont violemment durci et mon ventre s’est crispé. Après tout ce "garçon" l’a préparé, mon corps, depuis plusieurs semaines en lui imposant ses volontés. Rapidement je prends quelques affaires et je me précipite dans la voiture de Pierre qui a dû me trouver dans un drôle d’état. Extrait n° Huit Pendant le voyage en train Pierre m’a expliqué quelle serait ma mission à la fac, à Lyon. Il nous a enregistrés à l’hôtel dans une seule chambre à mon nom "pour que ton mari puisse t’appeler !" Au cours du dîner il m’a expliqué que, depuis le début de l’année scolaire, il avait décidé de coucher avec moi : — Je t’expliquerai pourquoi un jour. Maintenant, je suis assise sur le bord du lit. Je suis nue, il m’a déshabillée en se tenant derrière mon dos, je suis émue et inquiète mais comme détachée de mon propre corps. Il m’a tendu le téléphone : — Appelle ton mari pour lui dire où tu es, et l’heure de notre retour à Grenoble. Je ne sais comment je réussis à garder une voix naturelle avec Marc. Au travers de la ligne, je sens son amour et son désir de mon corps. Soudain Pierre s’avance derrière moi sur le lit et pose ses mains sur mes épaules. La première fois ...