Extraits du journal de Marianne
Datte: 20/07/2017,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
Partouze / Groupe
fsodo,
... qu’il me caresse ! Je n’ai pas fini de parler avec Marc mais je sens ses mains qui descendent lentement le long de ma colonne vertébrale, ma peau se hérisse de mille petites aiguilles et mes seins pointent à me faire mal. Je suis obligée d’écourter ma conversation en espérant que Marc n’a rien remarqué. Le temps de reposer l’appareil, Pierre, sans un mot, m’allonge sur le ventre puis il replie mes jambes, soulevant mes fesses. En tournant la tête, je ne vois que son visage et ses yeux. Encore ce regard qui me fascine ! Ses mains reprennent leurs caresses sur mon dos, sur mes jambes puis s’approchent de mes fesses et viennent effleurer le pourtour de mon anus. Je sens un doigt humecté de salive s’approcher de mon orifice et, doucement le violer avec précaution. Pierre se redresse, m’attire en arrière au bord du lit et me dit simplement, comme si c’était la chose la plus simple au monde — Maintenant, Marianne je vais t’enculer, tout doucement. Son sexe est venu au contact de ma corolle. À ce moment, j’ai su qu’il était très gros et j’ai un moment paniqué mais lui s’y est pris avec beaucoup d’habileté et c’est avec à peine de douleur que j’ai senti son gland passer mon sphincter. Il s’est arrêté longuement dans cette position en continuant de caresser mon dos de ses deux mains. À présent je sens son sexe frémir et donner des petits coups vers l’avant et c’est avec une lenteur exaspérante qu’il s’insinue en moi. Cette lenteur me fait paraître son sexe encore plus long. À chaque ...
... instant je crois que c’est la fin mais, non, je ne sens toujours pas son aine au contact de mes fesses. Jusqu’où va-t-il aller dedans moi. Mon corps commence à réagir. De nouveau, l’inquiétude passée, mes seins se mettent à durcir, mes hanches commencent un lent mouvement circulaire et de petits spasmes parcourent mon corps. Je n’ai que le temps de me dire que c’est mon cerveau qui me fait jouir. Je me revois lundi dernier avec Marc dans cette même position (pour la première fois). Est-ce pour me préparer à cette pénétration d’un sexe que j’imagine gigantesque que Pierre m’a demandé de me faire enculer le plus souvent possible pendant cette semaine. À cette idée mon corps se met à trembler et, comme avec Marc, j’ai l’impression de faire l’amour avec les deux hommes. J’en suis là de mes réflexions lorsque d’une dernière poussée, Pierre vient coller son pubis contre mes fesses et, je sens ses bourses contre mon sexe. L’orgasme qui se préparait lentement dans mon corps explose tout à coup et me laisse pantelante avant même que Pierre ait bougé dans mon anus. Je me suis effondrée sur le lit, Pierre toujours dedans moi. Pendant que je cuvais mon orgasme, il m’a lentement tournée sur le côté et je me suis mise en chien de fusil pour lui laisser tout l’accès possible à mon anus. À petits coups, Pierre commence à bouger son sexe, me tirant de ma léthargie. Je lui dis : — Tu m’as donné un plaisir que je ne soupçonnais pas, je te donne mon corps pour que tu en jouisses à ton tour, à ta ...