1. Extraits du journal de Marianne


    Datte: 20/07/2017, Catégories: fh, ff, fhh, Partouze / Groupe fsodo,

    ... guise. Le glissement de son sexe à l’intérieur de mon anus m’émeut de nouveau mais je m’endors avant même qu’il éjacule en moi. Extrait n° Neuf Le train démarre. Une heure de trajet, dans une heure je pourrais me blottir dans les bras de Marc. Je suis sûr qu’il m’attendra à la gare. J’aimerai lui raconter ces jours passés loin de lui, lui dire mon bonheur de le revoir et le bonheur des moments passés avec Pierre. L’admiration que j’ai ressentie en le voyant travailler avec ses étudiants, l’admiration aussi qu’il me porte : il me trouve bonne expérimentatrice et efficace dans les conseils que je donne aux jeunes. Je me sentais à vrai dire aussi jeune qu’eux. J’aimerai lui décrire le regard des garçons sur mon corps et ceux des filles aussi qui me faisaient parfois frémir. Je suis certaine que Marc aimerait cela. Je voudrais surtout lui faire ressentir le plaisir que j’ai pris avec Pierre, sans contrainte car je savais que Marc m’aimerait malgré tout, autant que je l’aimais dans ces instants. Parfois je me demande si cela est bien vrai. Ne m’en voudra-t-il pas que je me sois donnée ainsi à cet homme qui n’a même pas regardé ou caressé mes seins, qui m’a enculée sans me demander mon avis mais qui savait que je ne le refuserai pas, qui m’a pénétrée avec tellement de délicatesse que je n’ai ressenti presque aucune douleur malgré un sexe plus gros que celui de Marc. Il est étrange de voir la différence de comportement de Pierre pendant la journée, prévenant, rieur, attentif, et ...
    ... lorsqu’il me fait l’amour. Est-ce mon comportement, ma nature, la forme de mon corps, qui appelle cette attitude exigeante, presque égocentrique de sa part ? Ou, et l’idée me vient à l’instant, voit-il en moi le garçon que je ne suis pas ? Cela expliquerait qu’il n’a jamais voulu faire l’amour qu’en m’enculant. Tiens, Marc dit toujours sodomie, Pierre et moi nous disons enculer… J’en suis là de mes réflexions lorsque la voix de Pierre me parvient comme étouffée : — Marianne, Marianne, où es-tu ? Surtout, garde les yeux fermés, ce sera plus facile. As-tu été heureuse, assez pour que nous puissions nous revoir ? Tu m’as offert des plaisirs nouveaux pour moi et toi tu m’as dit la même chose. Je veux encore et encore te faire l’amour. Si tu es d’accord, je te téléphonerai chaque fois que je serai libre pour te voir, tu pourras venir me rejoindre à Lyon. Ce soir je me coucherai en pensant que tu feras l’amour avec ton mari. Le chuchotement s’est tu. De nouveau mes pensées m’assaillent. Non, Marc n’est certainement pas prêt à entendre tout cela, un jour peut-être. Je lui donnerai ce journal. Mais Pierre, lui, veut encore me faire l’amour. Je ne suis donc pas une si piètre amoureuse. Pourtant les orgasmes qu’il me procure sont si intenses que je m’endors souvent avant que lui ait eu son plaisir. La dernière nuit, je me suis éveillée. La clarté de la lune éclairait faiblement la chambre mais je voyais son grand corps allongé à côté de moi sur le dos. Je voulais voir et toucher son sexe ...
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