1. Extraits du journal de Marianne


    Datte: 20/07/2017, Catégories: fh, ff, fhh, Partouze / Groupe fsodo,

    ... habituel : ce soir nous partons pour Porto pour une semaine j’ai une mission là-bas et je t’emmène pour me seconder …. « mais pas seulement » a-t-il ajouté en tenant mon visage entre ses mains. Panique ! Il me faut avertir Marc qui m’a accompagnée à Lyon. Dans huit jours ce sera notre troisième anniversaire de Mariage et je voulais, en cadeau, lui permettre à nouveau de me sodomiser. Il me semble qu’il le désire tant. Il me faut aussi quelques habits. Décidément la vie devient compliquée ! Extrait n° Douze A aucun moment je n’ai imaginé de refuser à Marc de partir avec lui et nous voici dans l’avion vers Lisbonne. Marc ! Je l’avais retrouvé à la gare et je lui ai expliqué qu’il me fallait partir à Porto pour un congrès : j’étais co-auteur d’un texte que Pierre présentait. Il a senti mon désarroi et a été merveilleux. Lorsque je lui ai dit que nous disposions de deux heures de temps il m’a entraînée dans un magasin pour que je puisse acheter des habits. Il a surtout tenu à m’offrir une chemise de nuit en dentelle fine : un bijou de vêtement ! J’ai eu l’impression un instant qu’il allait me prendre dans la cabine lorsque je l’ai essayée devant lui. Une émotion merveilleuse. Savait-il que j’allais me donner à Pierre dans cette tenue ? En tous cas il n’en laissait rien paraître. Marc, mon amour. Extrait n° Treize A Pierre il m’a presque fallu mentir. Dans l’avion, assis côte à côte, au milieu du brouhaha des moteurs et des conciliabules des passagers, je me lance : — Pierre, ...
    ... j’aimerais t’avouer quelque chose. Il ne faut pas que tu ne me pénètres par derrière pendant quelques temps… Et j’allai inventer quelque prétexte lorsque Pierre a gentiment posé sa main sur la mienne et m’a dit : — Ne t’en fais pas, Marianne, cela n’a pas d’importance. Regarde-moi, l’important c’est de t’avoir à moi seul pendant presque une semaine. J’en suis émerveillé : ton visage, tes cheveux, ton corps de garçon, ton sourire, tes paroles, tout cela ! Te rends-tu compte. Alors, tu sais, que je te pénètre ou pas, c’est bien secondaire, même ainsi, tu me donnes un plaisir de fou. Oh, Marc ! Ce sont les premiers mots d’amour qu’il prononce. Ce ne sont pas les tiens mais, à sa façon il m’émeut et je pose ma tête sur son épaule. Dans un souffle il poursuit : — Je te dois des aveux, Marianne, dès le premier jour où je t’ai aperçue au début de l’année, j’ai su que tu serais à moi un jour prochain. Depuis, je n’ai plus touché une fille ! J’ai même fait un test de sida, négatif. Sans cela je ne t’aurais jamais pénétrée, mais tu m’aurais néanmoins appartenue d’une autre façon, je t’aurais fait l’amour par ton mari interposé. Comme au début. C’est ton regard devant ton ordinateur qui m’a dit que toi aussi, d’une certaine façon tu me voulais. Et en riant : — Tu as une grosse responsabilité, tu sais. Toi et ton corps androgyne vous avez fait basculer ma vie. Un jour tu te couperas les cheveux. Je n’ai plus honte d’être ce que je suis. Phrase énigmatique pour moi mais que je ne relève pas. ...
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