1. Extraits du journal de Marianne


    Datte: 20/07/2017, Catégories: fh, ff, fhh, Partouze / Groupe fsodo,

    ... J’attendrai ses confidences s’il y en a d’autres. C’est si difficile pour un homme de parler de ces choses. C’est à partir de ce moment que j’ai compris qu’il aimait en moi le garçon que je n’étais pas mais que je paraissais parfois. J’ai tout de même approché ma bouche de son oreille pour lui dire : — Mais, tu sais, tout mon corps est à ta disposition, si tu ne m’encules pas, tu pourras me pénétrer ailleurs. J’aime ton sperme qui se déverse en moi. J’aime ton plaisir. Il n’a pas répondu et nous sommes restés blottis l’un contre l’autre jusqu’à l’arrivée. Extrait n° Quatorze Et Pierre a tenu parole. Il n’a jamais approché mon anus. Ni mon vagin non plus, ni mon clitoris, ni mes seins. Les orgasmes qu’il savait me procurer me manquaient mais j’étais heureuse car il fut un compagnon charmant. Le soir nous allions nous baigner dans l’Atlantique, c’était un nageur remarquable que j’avais parfois peine à suivre malgré l’efficacité de ma nage. Tous les matins vers six heures il me demandait d’être nue allongée sur le ventre lorsque Pierre me téléphonait et ses caresses, sur mon dos et mes fesses, m’amenaient aux bords d’un plaisir indicible dont Marc a dû bien se rendre compte parfois. Ce n’est que la seconde nuit que j’ai pu, enfin, prendre son sexe dans ma bouche alors qu’il avait toujours refusé cette caresse. Il dormait nu sur le dos. La lune éclairait doucement la chambre. J’ai doucement caressé son ventre à la rencontre de son sexe qui s’est aussitôt dressé. Je ne saurais ...
    ... dire s’il s’est éveillé à ce moment-là mais il n’a pas bougé. Avec mille précautions je me suis redressée pour venir poser mes lèvres sur son gland. Premier contact pour moi plein de douceur et d’émotion. Puis, lentement, longtemps, je l’ai pris dans ma bouche. Petit à petit je me suis allongée sur le ventre tête bêche à ses côté. Mon cœur a bondi de joie lorsque j’ai senti sa main se poser sur mes fesses, les effleurer, faisant hérisser ma peau et naître mille petits frissons. Lorsque j’ai senti qu’il allait éjaculer, je ne savais s’il voulait ou non s’épandre dans ma gorge mais, là, il a pris ma tête entre ses mains et ne m’a pas donné le choix. En appuyant il a pénétré au fond de ma gorge et a joui longtemps, en criant simplement « merci Marianne », puis il s’est rendormi. À aucun moment il n’a cherché à me faire l’amour, à me faire jouir devrais-je dire, et j’étais pourtant heureuse. De fait, pendant ces quelques jours, je ne m’en étais même pas rendu compte tellement ses abandons dans ma bouche me comblaient. Les deux derniers jours il m’a imposé de le prendre dans ma bouche tandis que Marc me parlait. Avant de répondre, je devais le quitter. Ce sont ces jours-là que Marc m’a presque fait l’amour par téléphone. Mais à présent nous voici proche de notre arrivée à Lyon. Je sais que Marc m’attend à l’aéroport. Notre avion est en train d’atterrir lorsque Pierre me dit : — Tu feras beaucoup l’amour avec ton mari cette nuit. Je sais que c’est votre anniversaire de mariage. ...
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