1. un transport VIP inattendu. (1)


    Datte: 28/05/2018, Catégories: Hétéro

    ... jouais avec lui de ma langue. Je le suçais, l’aspirais pendant que de l’autre main j’emprisonnais l’autre sein et le caressais. J’inversai mon action. J’abandonnai le sein droit pour m’occuper du gauche. Le téton dans la bouche, je roulais l’autre entre mon pouce et mon index. J’entendais la respiration de Nathalie de plus en plus forte et rapide. Elle aimait ce que je lui faisais. Elle aimait mes caresses. Tout en me régalant des tétons de ma belle, j’allais de ma main droite en exploration puisque à part son visage et ses seins, je n’avais encore rien vu de son intimité. Ma main exploratrice arriva au-dessus de son sexe qui était glabre comme celui d’une petite fille impubère. Mon doigt trouva la fente entre les grandes lèvres toutes trempées par le désir et le plaisir. Je descendis ma tête au niveau de son pubis. Elle ouvrit les jambes en équerre et je vis... son abricot aux grandes lèvres entrouvertes laissant apparaître le rose des nymphes. De mes deux mains passées par dessous ses cuisses, j’ouvris son sexe et j’aperçus les deux merveilles de ma belle : l’entrée de sa vulve toute baignée de son envie et son clitoris voulant sortir de son capuchon. Il était tout rose, brillant comme une groseille gavée de rayons du soleil. J’approchai ma bouche de cette petite baie si impatiente et y déposai un baiser. Nathalie sursauta. J’essayai de le gober pendant que ma langue le caressait de bas en haut et de gauche à droite. Nathalie respirait de plus en plus fort, de plus en ...
    ... plus rapidement. Ses mains avaient lâché ses cuisses pour se poser sur ma nuque afin de me tenir le visage tout contre son fruit d’amour. D’un seul coup, elle me lâcha pour attraper les draps de lit à pleines poignées. Elle se cambra, arquant son corps comme un pont et elle poussa un cri qu’elle essaya d’étouffer en plaquant sa bouche contre l’oreiller. Elle jouissait. Je continuai ma dégustation car je la trouvais succulente. Nathalie lâcha un peu de sa liqueur d’amour qui vint tremper ma moustache ainsi que ma barbe ; elle avait un goût salé comme l’eau d’une huître fraîchement ouverte, une odeur de champignon fraîchement cueilli dans la mousse de la forêt. Je continuai ma gourmandise en faisant entrer mon index dans son vagin totalement inondé de sa liqueur d’amour ; je sentais sur la pulpe de mon doigt les parois plissées de la gaine qui allait me recevoir d’ici quelques instants. Lorsque j’appuyai sur la partie haute, Nathalie cria « Chéri... Mon amour ! Je meurs... Viens, prends-moi ! Je veux te sentir en moi, viens. » — Tu veux venir sur moi ? lui demandai-je. — Non, je veux te sentir... Je veux que ce sois toi qui me prenne. Je me positionnai à genoux face à ma compagne, entre ses cuisses. Nathalie s’était arc-boutée, s’appuyant sur ses jambes écartées, positionnant ainsi l’entrée de sa vulve au niveau de ma verge qui avait repris toute sa vigueur. J’approchai mon gland de l’entrée de sa vulve, et d’un mouvement du bassin Nathalie vint au devant de moi, se pénétrant ...
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