un transport VIP inattendu. (1)
Datte: 28/05/2018,
Catégories:
Hétéro
... tendre et prévenant, que tu feras ton possible pour ne pas me faire mal ; mais auparavant, je passerai dans une pharmacie pour acheter de quoi me faire propre à l’intérieur et du lubrifiant. Tu te rends compte, s’il y avait un accident ? Je ne saurais plus où me mettre, tellement j’aurais honte... — Ne t’inquiète pas, chérie : on prendra nos dispositions le moment venu. Pour le moment, j’en connais une qui est impatiente d’entrer en toi par derrière... — Alors viens ! me répondit-elle en cambrant ses fesses en arrière et en écartant les jambes pour que je puisse m’introduire en elle en levrette. Je dus fléchir mes genoux pour pouvoir positionner ma verge à l’entrée de son vagin. Je poussai, et le gland entra dans ce couloir de bonheur, tout chaud et lubrifié à souhait. Je poussai à fond jusqu’à que mon pubis arrive à la rencontre de ses fesses. Elle poussa un petit cri... qui était plus une exclamation de l’inattendu que de douleur. Je commençai à aller et venir en elle. De ses fesses, elle accompagnait mes mouvements, venant au devant de moi, se synchronisant comme dans une symphonie céleste. Je me tenais à ses hanches, lui donnant des coups de boutoir de plus en plus forts car je réalisai que sa respiration commençait à devenir plus rapide, plus forte... — Continue, mon chéri... Surtout ne t’arrêtes pas... Je suis en train de décoller ; mets les gaz ! J’accélérai mes mouvements. Mon ...
... ventre butait contre ses fesses en provoquant des claquements. Nathalie râlait... — Ouiiiii !... Je viens... Ouiiiii ! Je t’aime, je suis au paradis... Je continuais mes mouvements mais ne ressentais absolument rien qui puisse m’annoncer une éjaculation de ma part. Par contre, Nathalie avait joui : j’avais ressenti sur mon sexe et sur le haut de ma cuisse un liquide chaud, visqueux... Je sortis du vagin de ma compagne, ma verge perdant sa consistance, me faisant sentir qu’elle n’en pouvait plus : elle n’était plus habituée à cette gymnastique, à ce traitement. Nathalie se redressa et se retourna. Elle noua ses deux bras autour de ma nuque, pressa sa poitrine contre la mienne et déposa un baiser sage sur ma bouche. — Toi, alors... Tu es un phénomène : tu m’as fais décoller trois fois ce soir ! Par contre, toi, tu n’as pas fini. Je vais te finir avec la bouche, ou tu préfères que je le fasse avec ma main ? — Ni l’un ni l’autre, chérie : Miss est fatiguée. Elle n’est plus habituée... — Et tu n’éprouves aucune frustration de ne pas avoir joui ? — Non. Seulement du bonheur que toi, tu aies pu le faire. dsmdqqla Nathalie s’accroupit, se saisit de mon sexe et déposa un baiser plein de douceur sur le gland, juste sur la pointe, là où s’ouvre le méat. — Je t’aime, toi ! À qui s’adressait-elle ? À ma verge, ou à son propriétaire ? (Si vous avez aimé, vous pourrez lire la suite très prochainement.)