1. un transport VIP inattendu. (1)


    Datte: 28/05/2018, Catégories: Hétéro

    ... étrangères en plus du français. Cheveux mi-longs de couleur châtain méchés qu’elle coiffe en chignon en forme de banane ; 1,70 m environ, aux jambes splendidement voilées par des bas fumée et galbées que des escarpins aux talons aiguille rendaient encore plus érotiques (du moins pour moi). Une poitrine de 85C moulée par son chemisier blanc d’uniforme qu’elle portait comme un mannequin de haute couture. Elle ne devait pas porter de soutien-gorge car on apercevait le renflement que faisaient les tétons excités sans doute par leur frottement sur la soie du chemisier. En plus, lorsqu’elle se déplaçait dans l’appareil, elle laissait dans son sillage une odeur de parfum des plus enivrants. Ce n’était plus une « minette » comme l’on en voit dans les magazines, mais une femme dans toute sa splendeur qui ferait bander un eunuque rien qu’en le frôlant... et je suis loin d’être un eunuque ! Ce jour-là, pour ce voyage, elle portait un chemisier de soie beige ouvert jusqu’au troisième bouton... ce qui laissait apercevoir le sillon naissant de ses seins. Au cou, elle portait une écharpe aux couleurs bleue et blanche, celles de la compagnie. Une jupe de tergal de couleur bleu horizon, fendue à l’arrière, moulant ses hanches parfaites, se terminait au-dessus des genoux : pas une minijupe, quoique son physique le lui autorisait, mais un vêtement très féminin qui laissait deviner bien des délices sans les dévoiler. Il ne fallait pas qu’elle parût être là pour exciter la libido des passagers ...
    ... masculins et éveiller des jalousies féminines. Moi, j’étais le « quatre galons », le commandant de bord ; j’avais 68 ans : le type qui fait rêver les petits garçons et les petites filles qui rêvent de devenir pilote plus tard, et qui provoquait encore bien de la curiosité. Mes cheveux blancs coupés court appelaient à une sorte de respect chez certains, et ma moustache rappelait certains héros de Hollywood qui avaient fait fantasmer bien des jeunes filles et mouiller encore quelques femmes que l’on qualifie de respectables. Étant donné que notre appareil n’était pas conçu pour transporter plus de 12 personnes, la réglementation IATA n’obligeait pas la présence d’un copilote, ce qui arrangeait bien la compagnie ! Mes 1,80 m m’obligeaient à baisser la tête lorsque je n’étais pas assis sur mon siège placé à gauche dans le poste de pilotage, car l’aéronef est assez bas à cet endroit-là. J’avais mal à la nuque. L’âge avait laissé naître de l’arthrose dans mes cervicales, arthrose qui me gênait de plus en plus souvent. Le parfum de Nathalie vint caresser mes narines. Je sentis une main amicale se poser sur mon épaule droite. — Est-ce que tu veux que je te masse un peu les cervicales ? J’ai une crème à l’Aloe Vera dans mon sac qui pourrait te soulager. — Merci, ne te dérange pas, on va arriver à l’hôtel. Une bonne douche chaude et ça ira. — C’est comme tu voudras. Ce que j’en disais, c’était pour toi ; en ce qui me concerne, ça ne me dérange pas du tout. — Je te remercie ; c’est gentil ...
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