un transport VIP inattendu. (1)
Datte: 28/05/2018,
Catégories:
Hétéro
... Merci pour quoi, Nath ? Ces instants ont été pour moi aussi... Oufffff ! Je ne sais pas comment l’exprimer. Il y avait si longtemps... Je croyais que tout cela appartenait au passé. Tu as réveillé Lazare que je croyais mort de vieillesse. — Non, rassure-toi : ton Lazare n’est pas mort ; il y a beaucoup d’hommes plus jeunes que toi qui t’envieraient, s’ils savaient. — Alors tu es la « réssuciteuse de Lazare », ma puce ! lui répondis-je en riant. Ma verge avait déclaré forfait après ces dernières prouesses et était retournée à son attitude habituelle, celle de vermicelle. Elle s’était échappée de ce vagin si accueillant et je m’étais allongé sur le dos, essayant de reprendre mes esprits comme mes forces. Nathalie vint se placer au niveau de mon ventre, et avant de prendre ma verge dans sa bouche, elle m’avertit : — Ne prends pas peur, mon amour ; je ne vais pas te faire des misères : je vais seulement la nettoyer avant de passer dans la salle de bain car j’ai l’impression que ton sperme ne va pas tarder à sortir de mon ventre. Nathalie avait englouti mon sexe entièrement dans sa bouche. Elle l’aspirait afin d’extraire tout le reliquat qui se trouvait encore dans le méat. Ses joues accusaient un creux de chaque côté. Elle avait fermé les yeux et continuait ce qu’elle appelait son « nettoyage ». Elle titillait de sa langue le sillon du frein et la couronne du gland. À ma grande surprise, je sentis ma verge reprendre un peu de sa consistance ! Elle se retira, prit mon sexe dans le ...
... creux de sa main comme pour le soupeser, puis me dit d’un air coquin : — Tu viens avec moi sous la douche avant que ce coquin ne se réveille ? Nous étions tous deux dans la cabine de douche qui, la porte fermée, se révéla être on ne peut plus exigüe. L’eau nous coulait sur le corps. Nathalie me faisait face ; elle me savonnait les épaules et le torse pendant que moi, joignant l’utile à l’agréable, les mains pleines de gel douche, je lui massais les seins en insistant sur les mamelons et les tétons qui, sous mes doigts, devenaient de plus en plus durs. Je recommençais à bander ; Nathalie s’en aperçut. Elle prit ma verge dans sa main savonneuse et la plaça entre ses cuisses. Elle dut même se hausser sur la pointe des orteils pour pouvoir la placer là où elle le voulait : contre son sexe. Son regard amoureux en disait long sur les espoirs de sa tentative. Elle commença une langoureuse danse du bassin, mais mon sexe ne voulait plus danser : il avait eu sa dose ! Mais quand on pense à sa mise en retraite forcée durant cinq années, je m’étonnais moi-même de ses performances : coup sur coup, deux fois de suite en l’espace de deux heures. À 68 ans, la fougue de la jeunesse n’était plus qu’un souvenir mais la qualité avait remplacé la quantité. Nathalie se retourna, plaquant ses fesses contre mon dard qui commençait à perdre de sa rigidité. Je l’entourai de mes bras et la plaquai contre moi. Le savon la rendait glissante ; c’était agréable. Mes mains repartirent à la recherche de ses ...