1. Sous le choc


    Datte: 28/05/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail

    ... n’était, sa chatte soyeuse tout contre mon épaule se frotte imperceptiblement. Je rêve peut-être mais j’ai l’impression de sentir sur mon tee-shirt, sur ma peau, le renflement de son sexe et une légère humidité. C’est doux, c’est chaud, puis plus rien. Madame Bérangère s’est déportée sur ma droite et j’entends sa voix comme dans un songe me demander si j’ai fini. Pas le temps de répondre, elle est déjà penchée pour récupérer la tasse. Sa nuque dégagée passe sous mon regard désabusé, je regrette déjà le contact de sa fente qui m’attire comme un aimant. Pourtant je ne perds pas au change. Quand on voit sa nuque, la première envie qui vient à l’esprit est de l’effleurer, juste l’effleurer pour s’approcher un peu de sa peau qu’on imagine savoureuse comme une viennoiserie. S’approcher et puis respirer les effluves de croissant fraîchement sorti du four qui entourent son cou, ses épaules, ses seins, son ventre tout en rondeur, ses hanches indécentes et ses fragiles chevilles. Tout ça défile dans ma tête et me revient comme un boomerang dans le cerveau. Mes neurones déversent dans tout mon corps des décharges d’adrénaline, de désir. Le résultat ne se fait pas attendre. Sous l’épais tissu de mon pantalon de travail, ma queue fait des bonds. Aucun renfort, aucune couture ne peut cacher mon trouble. Je me retrouve dans une situation bien embarrassante avec une bite raide comme jamais. Dissimuler cette émotion est mission impossible. — Mais dites-moi, Éric, il me semble que je ne vous ...
    ... laisse pas indifférent, dit-elle en se relevant. Pour ma part, Je crois que mon cœur n’a jamais battu aussi fort, je reste muet en attente, un peu pétrifié. Ses doigts en remontant se posent sur la bas de mon ventre et se glissent sous mes vêtements. Je la sens hésiter. Je mets ma main sur la sienne pour l’empêcher de changer d’avis. Surtout l’inciter à continuer ce petit jeu, sinon je meurs. Ses phalanges remontent le long de mon torse jusqu’à ma gorge qu’elle caresse par petites pressions. Au moment où je me décide à parler pour lui confier mon trouble et mon excitation, son index se pose sur mes lèvres. Elle me fait face maintenant. De sa bouche sort un timide et sensuel « chuuut », comme une invite à me taire. Ses lèvres gourmandes se rapprochent avec lenteur, se posent sur les miennes. Un goût de fraise des bois envahit tout l’espace. Sa langue se faufile entre mes dents, c’est divin. Je la veux, je la veux toute à moi. Mes mains partent en expédition sur sa nuque puis ses épaules. Toujours plus bas, elles frôlent la naissance de son dos et glissent dans son shorty pour aller à la rencontre de ses merveilleuses petites fesses. Ça y est ! je les tiens dans mes paumes. Je suis le roi du monde. Elle s’est assise sur mes genoux dans un face à face vorace. On se bouffe plus qu’on ne s’embrasse. Nos salives se mélangent dans une frénésie insatiable, nous haletons, nous grognons de concert. Subitement elle se recule, étire ses bras, me regarde droit dans les yeux et me déclare ...