1. Sous le choc


    Datte: 28/05/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail

    ... s’arrête puis descend jusqu’à la naissance de sa raie des fesses. Oserais-je aller plus loin ? Timidement, ma main avance millimètre par millimètre. Au bout d’un temps qui me semble infini, mon index finit par toucher son œillet. Je n’irais pas plus loin, me sentant attendu, espéré comme une délivrance. Une simple pression devrait la faire décoller. Juste accompagner son orgasme avec cette tentation du diable à l’entrée de ses fesses. — Stop, pas plus ! soupire ma cavalière dévergondée. Sa bouche s’entrouvre, un bref instant muette. Ses sourcils se froncent, ses yeux se ferment comme concentrés pour aller chercher la jouissance tout au fond de son con. Elle est belle à en gicler. — Oui. oui. continuuuuue. n’arrête pas. Je veux ton poing dans ma chatte. Pour l’éternité. C’est trop. trop. troooooop… Elle s’effondre comme une poupée de chiffon. Immobile, ma cliente gourmande savoure la profonde détente que lui a procuré son orgasme. Quant à moi, je retire délicatement mes mains et essaie de me donner un peu de contenance pour la suite des évènements. Je me risque à briser le silence : — Vous… Euh… Vous êtes… Vous êtes merveilleusement belle quand vous jouissez. Sur le coup, elle ne me répond pas, se recule, se relève tout en sensualité. Je suis suspendu à ses lèvres, attendant de nouvelles réjouissances. Mon cœur bat la chamade. Pourtant il semble s’arrêter quand je l’entends le plus naturellement du monde me dire : — Éric, que diriez-vous d’une pause thé en fin d’après-midi ? Fin du rêve ou début d’un festin encore plus excitant ? C’est quoi cette volte-face de dernière minute qui me laisse dépendant, la queue ardente avec son désir inassouvi ? Je ne sais qu’en penser, mais l’image de son pubis ouvert à tous les vents et à toutes les caresses ne va plus me quitter de la journée. Les heures à venir vont me paraître une éternité.
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