1. Amsterdam (deuxième partie)


    Datte: 29/05/2018, Catégories: Hardcore, Lesbienne

    ... femme abandonnée. Quelques minutes plus tard, mon téléphone se mit à vibrer. La voix de Monique me ramena sur terre :Salut, cocotte ! Nous sommes au resto... Très embêtés que tu ne sois pas avec nous.Ne le soyez pas, Monique. Ça ira...Ta voix me dit le contraire...C'est passager... Je vais me mettre en pyjama et un bon sommeil réparateur me rendre la forme.Si tu le dis... Écoute, on passe te voir après le resto et on s'occupe gentiment de ta peine.Une autre fois, je ne te dis pas non. Mais, aujourd'hui, j'ai déjà assez donné et je ne suis pas la meilleure des compagnies, je t'assure. En plus, je crois que votre relation « un peu spéciale » mérite que vous passiez la nuit ensemble, non ?D'accord, d'accord. Ne t’inquiète pas pour moi. J'ai tout ce qu'il faut dans la chambre de François. Et je passe te chercher à 7 heures, demain matin.Nous primes congé. Je fis l'effort de me lever et d'aller jusqu'à la salle de bains. Je m'étais déshabillée et me suis lavée la figure, sans à peine me regarde dans la glace. Je pris une petite bouteille de vodka du mini-bar, la décapsulai et bus son contenu d'un trait. L'effet fut immédiat. Et le soulagement, aussi.Il faisait très bon, dans la chambre, chose qui me permis d'oublier le pyjama. Je mis la télé et fis du zapping, avec l'intention de tomber sur une chaîne francophone. Mais, à un moment donné, mes yeux se fixèrent sur un film érotique que je ne tardai pas à identifier : Emmanuelle, avec Sylvia Kristel. Et une scène que je ne gardais ...
    ... pas dans mes souvenirs dans laquelle, un groupe d'hommes se battaient -de la boxe thaï, je crois, tandis que Emmanuelle les regardait émerveillée. Je ne tardai pas à me caresser, d'abord mes seins, les massant avec mes deux mains, pinçant mes mamelons, les tortillant sans perdre de vue les images. Emmanuelle se mettait à quatre pattes et le vainqueur prenait possession de son prix, devant le regard lubrique de dizaines de jeunes thaïlandais qui se voyaient déjà prendre le relais...Je fermai les yeux et un souvenir frappa mon esprit. Je me suis revue dans une situation similaire, presque 20 ans auparavant, les yeux bandés. Didier et quatre de ses copains de l'équipe de foot dans lequel il jouait devaient me prendre, à tour de rôle et je devais être capable d'identifier mon mari. Cinq belles bites pour moi toute seule. C'était la période la plus trash de ma vie. Didier fut le deuxième à me prendre. Je l'avais su tout de suite car il avait l'habitude de cracher sur mon anus et d'y m’enfoncer son pousse. Mais, j'avais fait semblant de rien sentir de spéciale et ainsi pouvoir profiter du plaisir qui m'offraient ces cinq jeunes hommes...L'orgasme arriva, violent, long, d'une intensité réparatrice. Et je me suis entendue hurler :Salaud ! Tu n'es qu'un putain de salaud !Et puis, j'éteignis la télé, la lumière et pris un léger somnifère.Quelques heures plus tard, des coups répétés sur la porte me réveillèrent. A moitié dans les vapes, je consultai l'horloge de mon téléphone et vis qu'il ...