Amsterdam (deuxième partie)
Datte: 29/05/2018,
Catégories:
Hardcore,
Lesbienne
... était sept heures mois le quart. Ce ne pouvait pas être Monique puis qu'elle connaissait le code d'accès de notre chambre. Je me suis levée, mis le t-shirt « Betty Boop » qui me servait de pyjama et allai ouvrir :Bonjour, Sandra. C'était François, déjà habillé de son costume de chauffeurBonjour... Et Monique ?Elle a du mal à se lever, me répondit-il avec un zeste d'ironie. Voulez-vous passer dans ma chambre et la faire sortir du lit ?Oui, oui, pas de problème...Parfait... Je dois filer. Le bus est à l'autre bout de la ville. Et avant partir, il ajouta : Je m'excuse encore pour hier soir. Je pris une douche et je n'ai pas remis de parfum.Encore cette ironie qui sous-entendait pas mal de choses. Il aller finir par me baiser, j'en étais sure !Il me donna le code de sa chambre et partit. Après un instant d'hésitation, à savoir si je devais m'habiller ou pas, je pris la décision d'y aller toute de suite. Le sol de tout l'hôtel était couvert d'une épaisse moquette, pas besoin de me chausser. Je fermai la porte de notre chambre et me dirigeai vers la sienne, dans le même étage, à l'autre bout du couloir. Avant de faire le code, je toquai deux ou trois fois ; sans réponse. Je finis par taper la combinaison et la porte s'ouvrit.Monique ?…Monique ? Réveille-toi, fainéante !Elle était allongée sur le lit ; un grand lit. Une faible lumière se filtrait à travers les stores. Elle était nue, à moitié sur le ventre, une jambe étirée et l'autre pliée contre son ventre. Son corps longiligne ...
... et mince luisait comme s'il était en porcelaine. Je m'assis près d'elle et la secouai légèrement à hauteur de son épaule. Elle se retourna et me vit :Bonjour, cocotte... Quelle heure est-il ?Encore une fois, je fus surprise de ce que mes yeux voyaient. De ses longs et épais tétons et, plus encore de son pubis, totalement épilé. Elle s'en aperçu tout de suite et me dit :T'as vu, ce qu'il m'a fait ?Elle me prit la main et la mit sur sa chatte :Touche comme c'est doux, maintenant. Si tu veux, ce soir, il peut s'occuper de la tienne ; c' est un pro !Je lui caressai le minou, pas trop sure de comment mes caresses pouvaient se terminer. Mais, mon amie me donna, de suite, l'indice en écartant ostensiblement ses cuisses et gémissant au moment où mes doigts effleurèrent son clitoris, lequel, gonflé et gros comme le bout de mon index, dépassait de ses petites lèvres qui n'avaient des petites que leur nom.Nous sommes un peu en retard, Monique... Lui confirmai-je, en glissant mon majeur dans sa fente.Ils vont nous attendre...Mmm, ma cocotte, ne laisse pas à moitié une si bonne chose !Je me suis penchée sur sa poitrine, pris en bouche un de ses énormes tétons, le léchant, le suçant, le mordillant, lui arrachant un couinement de plaisir gutturale :Cochonne ! Tu n'en a pas eu assez avec ton chauffer ?Encore, ma cocotte ! Oooohhh !Et là, je me suis comportée comme une bonne prof. Je me suis écartée d'elle, me suis levée et lui dit :Non, Monique. On nous attend ! Et tu ferais bien de prendre ...