Un week-end torride. Samedi
Datte: 02/06/2018,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
fbi,
parking,
amour,
volupté,
Masturbation
Oral
jeu,
yeuxbandés,
ecriv_c,
... déjeuner demain midi. Son fiancé repart demain matin.— Ah ! c’est sympa ! D’accord ! Puis je la regarde, l’air inquisiteur et risque la question qui me brûle. — Alors, vous l’avez bien « rangé » son appart ? Elle m’enlace, me presse de ses lèvres, se fait chatte. — Oui. Tu es jaloux ? me demande-t-elle tout bas en baissant la tête.— Oui et non. L’essentiel… c’est que tu sois heureuse, laissé-je tomber, tout de même un brin jaloux— Heureuse ? Je le suis ! Clara et toi, vous êtes ma vie, mais d’abord toi, d’accord ? Et puis en me regardant droit dans les yeux, elle minimise : — Et tu sais, ça faisait longtemps ! Et bien, c’est différent, plus pareil, de la tendresse surtout… Clara est une autre moi-même, c’est curieux… L’enlaçant, je la serre fermement par les fesses, collant mon ventre au sien, décidé à rentrer définitivement dans son jeu : — Du moment que tu me reviens… grosse cochonne !— Oh oui ! souffle-t-elle, mais dis donc, c’est vrai pour toi aussi… hum ! Avec Clara ! Nous rions. C’est vrai. Cette union où nous nous « partageons » Clara est particulière ! Parfois je me demande comment j’en suis arrivé là… après tant d’hésitations chez elle, chez moi. Mon bonheur et le sien sont à ce prix. Je dois m’y faire. o-o Comme prévu, soirée au restaurant. Je l’ai choisi intime, une table dans un coin discret, avec des petites lampes. Des souvenirs, les petites lampes… Avant de sortir, Laure s’est changée. Une robe mi-longue, avec un décolleté à frous-frous, présentant la ...
... naissance des seins comme dans un écrin. Juste sexy, à croquer. « Je mets le string à paillettes… » me dit-elle gentiment provocante, « pour tout à l’heure ! Hein ? » Bien sûr j’aurai cette image en perspective toute la soirée ! Ses fesses soulignées par ce truc inventé par le Diable ! Ah ! je vais me régaler ! Comme nous sommes en tête à tête, je lui rappelle notre première rencontre, dans un restaurant qui ressemblait à celui-ci. Là où elle m’a envoûté, le début de notre aventure inattendue, de notre bonheur à construire. Elle soupire, sourit : — Ah oui ! Tu as raison… Quelle garce j’ai été, mon pauvre chéri ! Je t’ai fait souffrir, tu te noyais dans mon décolleté, tu tirais une langue… et puis moi, au revoir ! J’ajoute en riant, me souvenant que j’étais resté sur ma faim et furieux : — Et cette façon de faire crisser tes bas ! Un délice, de me faire penser ainsi à tes cuisses, ce qu’elles cachent… Ah ! salope !— Désolée… Amour, désolée…— Et cette fois tu ne t’échapperas sur le parking ! lui dis-je amusé. Sa main serre la mienne, ses genoux cherchent les miens sous la table. Elle se penche en avant, m’invitant des yeux à me repaître de ses seins que j’entre aperçois dans l’échancrure de son corsage. Un peu de dentelle, une bretelle, des rondeurs mouvantes, un grain de beauté… Je louche, troublé et attiré par ce tableau. Elle soupire, excitée de l’effet qu’elle produit sur moi : — Non, non ! Je te garde cette fois ! Tu sais, ce soir-là, je crois qu’inconsciemment je suis tombée ...