Un week-end torride. Samedi
Datte: 02/06/2018,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
fbi,
parking,
amour,
volupté,
Masturbation
Oral
jeu,
yeuxbandés,
ecriv_c,
... — Quelque chose… entre nous, entre filles, avant que je reparte ! Clara s’offusque : — Tu as bien promis, hein ? Sinon je me vengerai sur Jean-Pierre ! Et elles se tombent dans les bras en riant. Je crois avoir compris. Elles vont sacrifier à Sappho, s’envoyer en l’air ! Elles ont combiné leur coup, mais où et quand ? Un complot. À présent les essayages. L’une et l’autre, dans deux cabines contiguës, avec ce qu’elles ont choisi et ce pourquoi elles hésitent. Et là… c’est le cirque ! Elles jouent tour à tour à m’allumer, m’appelant, à moitié nues derrière le rideau, tour à tour ! « Et celui-là… qu’en penses-tu ? », puis à peine sorti, « Jean-Pierre, tu es là ? Viens voir… ». Et bien sûr les mains baladeuses, les bisous furtifs, les caresses discrètes. Je me demande comment l’une ou l’autre n’a pas essayé de me violer ! La vendeuse, plutôt mignonne d’ailleurs, sourit de ce manège. — C’est votre femme et votre sœur, je suppose ? La demoiselle brune, votre sœur, elle vous ressemble. Je reste interdit. On va rire… — Clara ? dis-je assez fort en poussant le rideau. Rentrant à demi je l’embrasse sur la bouche et lui tape sur les fesses, et me tournant vers la vendeuse ébahie : — Non ! Ma maîtresse ! La blonde, c’est ma femme ! Et j’entends Clara et Laure éclater de rire. Si elle savait, la vendeuse, qu’en plus, Laure et Clara…hop ! Empourprée, paniquée, elle bredouille : — Mes compliments, Monsieur… o-o Tout ceci m’a chauffé un peu… Manipulé, je suis ! Mes yeux gardent leurs ...
... formes entrevues, mon nez leurs odeurs mêlées et pimentées, mes mains les effleurements du grain de leur peau. De retour, dans la voiture, elles rient de leur comportement : — Ma chérie, Jean-Pierre est mûr pour ce soir ! Profites-en ! pouffe Clara.— J’y compte bien ! Et je n’ai pas beaucoup de temps ! soupire Laure o-o Nous visitons l’appartement de Clara. Dans la chambre, Laure apprécie la fermeté du matelas en s’y asseyant. Nous échangeons des regards troubles. Il ne faudrait pas grand chose pour qu’ici, tous les trois… Mais Clara, gentiment et heureusement, nous rappelle qu’elle attend plus tard son fiancé, mais qu’elle aurait besoin de Laure pour l’aider à certains aménagements, à régler des détails. — Je la garde ! me dit-elle en me prenant par les épaules, les yeux humides. Des trucs de filles, réessayer nos achats, tu comprends ? Je te la rends d’ici une heure ou deux… tu veux bien ? On se revoit lundi, tu l’auras tout demain… Laure acquiesce et m’adresse de loin un petit baiser du bout des doigts, m’abandonnant pour cette parenthèse rose. — Je ne serai pas longue ! A tout à l’heure, Amour… Et voilà ! Exit le mâle ! Gonflées ces nanas ! Mais c’est le cœur léger que je m’en vais. Après tout, passées les premières résistances, je m’accommode assez bien de cette situation, je ne vais pas me plaindre… o-o Laure revient, rayonnante, très à l’aise, ses paquets à la main, comme si de rien n’était, comme si elle ne sortait pas des bras de la pulpeuse Clara. — Clara nous invite à ...