On rase le passé
Datte: 03/06/2018,
Catégories:
f,
ff,
asie,
vacances,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
rasage,
Oral
fdanus,
aliments,
init,
lettre,
initff,
... chercher à découvrir un décolleté, ils redevenaient tout à fait normaux, c’est-à-dire fous. Elle n’y est pas allée de main morte non plus. Elle a pris un fin drap, l’a passé sous son bras et l’a noué sur l’autre épaule. Pour éviter que sa robe ainsi fendue de l’épaule jusqu’à la cuisse ne s’ouvre, elle a rattaché les deux pans avec une broche au niveau de la hanche. C’était tout. C’est vrai que sa robe, elle, arrivait à mi-cuisse alors que la mienne arrivait à mi-chatte. Mais il ne fallait pas être Sherlock Holmes pour voir qu’elle ne portait rien en dessous. Quand je lui ai demandé si elle n’avait pas peur de se faire violer, elle m’a seulement montré, dans sa garde-robe, sa tenue de karaté avec ceinture noire ! Décidément, cette petite femme allait m’en apprendre toutes les minutes. En route, elle m’a bien expliqué que si nous sortions comme cela, c’était pour s’amuser entre copines en vacances, mais que si je voulais un jour séduire un homme, il fallait au contraire cacher le maximum et le faire rêver aux terres inconnues… À trop montrer, on ne récolte que des voyous. Quoique se faire sauter par un voyou cinq minutes ou une nuit, ça peut être très bon, c’est un choix à faire : séduire pour durer ou séduire pour baiser. Ce à quoi j’ai répondu l’air déterminé : — Ces vacances, je baise ! Et on s’est toutes les deux mises à éclater de rire ! Visiblement, Vanille était une habituée de ce petit restaurant chinois. Le patron est venu nous saluer très humblement et nous a ...
... conduites vers une petite table dans un coin très discret, séparée des autres par des paravents décorés de paysages, d’inscriptions chinoises et, dans le coin, d’une représentation digne du kamasoutra. Idyllique. Une geisha est rapidement venue embrasser Vanille, elle l’a regardée attentivement, soulevant le pan de sa robe et riant d’un de ces rires qui ont l’air gêné en voyant sa nudité ! Elle devait la traiter de folle dans sa langue. Quand Vanille m’a présentée, la geisha s’est inclinée très respectueusement. Elle semblait sortir d’un livre, le visage fardé de blanc, les yeux et les lèvres délicatement soulignées. Son kimono traditionnel couvrait entièrement son corps et ne divulguait rien de ses formes. À son départ, les yeux posés sur sa démarche lente, Vanille dit simplement : — Elle a l’air sage avec son kimono, n’est-ce pas ? Tu n’imagines pas ce qu’il y a en dessous, un dragon. Elle ne m’a pas expliqué si le dragon était une image de chaleur, de feu ou un simple tatouage bien placé, mais j’imaginais. Vanille a commandé pour moi un assortiment de 12, 43 et 18 en entrée puis un 55 comme plat principal et un 69 pour le dessert ! Ça promettait comme repas ! J’ai été un peu déçue de voir arriver en entrée de simples légumes froids avec deux œufs durs sans aucune sauce exotique. Docilement, j’ai pris l’œuf en main pour le porter en bouche mais Vanille a immédiatement interrompu mon geste : — Attends, ça manque d’épices. Elle a pris délicatement mon œuf, a glissé son bassin en ...