L'arroseuse arrosée
Datte: 09/06/2018,
Catégories:
fh,
cocus,
inconnu,
grossexe,
fépilée,
jardin,
fdomine,
vengeance,
Masturbation
gifle,
... préparée sur le bord supérieur de la cabine, après quoi j’ouvre la porte. Adeline pleure, mon boxer dans les mains. — Salopard ! crie-t-elle. Elle me jette le sous-vêtement à la figure en claquant la porte de sortie. À dire vrai, mon caleçon trahit les faits et gestes d’hier soir, parce que ça sent et colle un peu. Enfoiré que je suis ! Je me sèche rapidement, puis je pars avec une serviette nouée autour de ma taille à la recherche d’Adeline. Je la vois pleurer sur le lit, le visage dans l’oreiller. Alors que j’essaie de la tenir dans mes bras et de balbutier que tout va bien, elle essaie de me frapper avec ses coudes pointus. — J’étais saoul, et ce n’est pas ce que tu penses ! J’essaie encore, mais en vain : son chagrin et ses gémissements font qu’elle n’entend même pas mes explications. Soudain, elle arrête, se retourne et me regarde avec fureur : — Je ne te suffis plus, c’est ça ? T’as trouvé mieux ailleurs !— Non, c’est pas ça du tout, ma chérie, dis-je honnêtement.— Ne m’appelle pas ma chérie ! Qu’est-ce que tu as fait et avec qui ?— Je ne sais plus, je te jure. Elle se lève, essuie les larmes de son visage et dit : — Alors, comme ça, tu mets en jeu notre mariage et tu ne sais même plus que tu l’as fait !— J’en ai bien peur… Je le dis loyalement mais avec beaucoup de remords, alors que je m’assieds au bord du lit, la tête basse, puisque je n’ose même pas la regarder en face tant j’ai honte. — Alors dis-moi ce que tu sais encore de ce que tu as fait hier soir, dit-elle ...
... en rage. J’hésite à le raconter, car c’est aussi un peu flou pour moi, mais si je veux sauver mon couple, alors, je n’ai qu’une option et c’est celle d’être tout à fait honnête. — Il y avait une dame hier, bien plus vieille que nous, qui m’a dragué alors que je prenais un verre au bar avec les copains. Nous allions tous partir. Elle m’a suivi quand je suis sorti. Je n’ai pas fait attention à elle, bien au contraire, mais elle a abusé de moi. J’étais bourré. Tu comprends ?— Espèce de couillon ! Menteur ! Comment ça, abusé ?— Elle m’a poussé contre un arbre dans le parc, m’a baisé, puis s’est enfuie, dis-je en quelques mots pour que l’histoire soit aussi courte, banale et lassante que possible.— Elle t’a baisé ? Tu ne crois tout de même pas que je vais gober ça ? Adeline est folle de rage. — Oui, elle m’a bel et bien baisé !— Mais pour ça, il faut être deux !, dit Adeline pour me donner tort.— J’étais complètement saoul, alors…— Ce n’est pas une excuse !— Je sais. Ma réponse a le goût amer d’une énorme culpabilité. — Alors tu te laisses faire si facilement ?— Non, pas du tout, dis-je avec indignation.— Alors tu mens !— Non, je ne mens pas, c’est vraiment ce qui s’est passé. Je ne la reconnaîtrais même pas, je ne connais même pas son nom et…— Mais tu aimerais le connaître !— Non ! Bien sûr que non ! C’est toi que j’aime, et personne d’autre.— Si tu m’aimais comme tu le prétends, tu n’aurais pas à aller voir ailleurs, dit Adeline. Je la regarde et balbutie péniblement quelques ...