1. L'arroseuse arrosée


    Datte: 09/06/2018, Catégories: fh, cocus, inconnu, grossexe, fépilée, jardin, fdomine, vengeance, Masturbation gifle,

    ... mots. — Mais je t’aime vraiment ! Ses yeux expriment le dégoût et l’agressivité, alors que je la supplie, cherchant un peu de compréhension. — Tais-toi ! Je ne veux plus t’entendre, connard ! Je garde les yeux baissés. Elle est furieuse, c’est clair et je peux l’admettre, mais alors pourquoi est-elle toujours là ? Elle va vouloir se débarrasser de moi maintenant, c’est sûr. Et puis, elle a raison, je suis vraiment un con : je bois tellement avec les copains que je perds tout contrôle de mes actes. Soudain… une gifle, cinglante, en plein visage. Je la regarde avec stupéfaction, mais j’en essuie aussitôt une seconde sur l’autre joue. Alors que je tiens mes joues des deux mains, par protection et comme si cela pouvait atténuer la douleur, elle attrape mes poignets et décolle mes mains de mon visage. — Lève-toi ! Je réponds promptement à son ordre. Pourquoi je fais ça ? Pourquoi est-ce que je reçois ses coups sans réagir et pourquoi je me lève à son commandement ? La réponse est simple : je suis coupable et je dois accepter les conséquences de mon faux pas. Si je le voulais, je serais certainement capable de la maîtriser physiquement. Mais si elle a besoin de me punir et que cette punition peut me faire sauver mon couple, alors je vais la subir ! Je le décide ainsi. Elle est ma femme, l’amour de ma vie, et je l’ai terriblement déçue. Adeline tire sur le bord de la serviette nouée autour de ma taille et la fait tomber par terre. Je réalise ma nudité totale, tant physique que ...
    ... psychique. Adeline cherche encore à me frapper. Cette fois, là où ça fait le plus mal. Mais je bloque son geste. — S’il te plaît, arrête, Adeline ! Je supplie avec une voix empreinte de souffrance, car mon corps ne peut plus tolérer une nouvelle punition. Elle semble se calmer un peu. La douleur sur mes joues commence lentement à s’estomper. Je me redresse et m’assieds par terre. Adeline a disparu de la chambre ; alors je me mets la tête entre les mains avec l’impression d’être castré psychiquement. Je me dirige finalement vers la salle de bain, y enfile mon peignoir et me rends au salon où je retrouve Adeline assise sur le canapé, une bouteille de cognac à la main, noyant son chagrin et sa fureur. Je m’assieds à côté d’elle et je veux lui prendre la bouteille parce que je pense que ce n’est pas une solution pour résoudre notre problème, par ailleurs déjà causé par la boisson. Elle me lance : — Est-ce qu’il faut que je fracasse cette bouteille sur ta tête de con ? Je lâche aussitôt la bouteille. — Je suis vraiment désolé, chérie. Sa réaction est immédiate. — Ça t’a plu… avec elle ? fait-elle sèchement. Je ne réponds pas, alors elle répète sa question, mais maintenant beaucoup plus brutalement. — Ça t’a plu, avec elle, j’ai demandé !— Non, dis-je. Parce que ce n’était en effet pas une réelle partie de plaisir. — Alors pourquoi l’as-tu fait ?— J’étais bourré, elle aussi et elle m’a surpris. Ma vérité n’est que partielle. — Je pense que tu étais saoul, en effet, tu empestais l’alcool ...
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