L'arroseuse arrosée
Datte: 09/06/2018,
Catégories:
fh,
cocus,
inconnu,
grossexe,
fépilée,
jardin,
fdomine,
vengeance,
Masturbation
gifle,
... en rentrant cette nuit, mais qu’est-ce que tu entends par surpris ?— Elle m’a poussé hors du sentier et m’a enlevé mon pantalon, dis-je honnêtement.— Ce n’est pas une excuse pour coucher avec elle ! Tu pouvais la repousser, non ? crie-t-elle maintenant.— Tu as raison, mais j’étais trop bourré et éberlué, je pense. Elle me dévisage et malgré une apparence un peu moins féroce, le feu est toujours perceptible : ce ne sont plus des flammes, mais des braises encore bien ardentes. — Dis-moi honnêtement ce qui s’est exactement passé. Je la regarde et hésite à lui révéler tous les détails dont je me souviens. — Si tu me respectes un peu, alors tu me le dis.— D’accord, mais il n’y a pas beaucoup plus à dire que ce que je t’ai déjà raconté. Au lieu de mots, elle utilise maintenant son regard pour m’indiquer clairement de ne plus tergiverser, mais de simplement confesser ce qui s’est passé. — Comme je te l’ai dit, la dame en question a dû me suivre et elle m’a fait des avances. Je lui ai dit que j’étais marié et que je rentrais chez moi, mais au lieu de respecter ça, elle m’a plaqué contre un arbre et a retiré mon pantalon. Puis m’a baisé, vite fait. Une fois terminé, elle a remis ses vêtements en place et est partie.— Elle ne t’a même pas fait jouir ? demande Adeline avec étonnement.— Non. Mais elle mouillait beaucoup, d’où les traces sur mon boxer. Pendant un moment, il me semble que la colère d’Adeline diminue et qu’elle croit à mon histoire, qui correspond assez bien à la réalité, ...
... jusqu’à ce qu’elle me regarde et me dise : — Je ne te crois pas !— Mais, c’est vrai, je te jure !— Et toi, que penserais-tu si j’allais voir ailleurs ? Comme je lui ai toujours dit que je la plaquerais illico si elle me trompait, je pense qu’elle partage cet avis en ce qui me concerne. Je m’en tiens donc à cette position et la lui rappelle. — Peux-tu imaginer ce que je ressens maintenant ? dit-elle, plus triste que fâchée.— Je comprends, dis-je. Je me lève pour aller dans la chambre chercher une valise, sachant que j’ai tué notre couple. Pendant que je m’habille et prépare mon baluchon pour nulle part, Adeline entre dans la chambre. — Où penses-tu aller ? demande-t-elle.— Je pars.— Comment ça, tu pars ?— Tu veux te débarrasser de moi, j’ai bien compris. À ta place, je l’aurais fait aussi. C’est ce qu’on a toujours dit, non ? Alors je m’en vais.— Tu ne vas nulle part, dit-elle en s’approchant de moi et en me basculant sur le lit. Tire ton pantalon ! Là-dessus, je me relève en serrant les poings, car il est évident que ce n’est pas pour la bagatelle qu’elle me demande de me déshabiller. Je n’ai pas le temps de faire un pas que déjà sa main part en direction de mon visage, mais je fais un pas en arrière pour l’éviter. — Qu’est-ce que tu veux de moi ? Son agressivité me surprend de plus en plus. — Je veux savoir si tu mens, dit-elle.— Qu’est-ce que tu veux dire, je t’ai tout dit honnêtement !— Alors prouve-le !— Comment diable veux-tu que je te le prouve ? Je n’y comprends plus ...