1. L'arroseuse arrosée


    Datte: 09/06/2018, Catégories: fh, cocus, inconnu, grossexe, fépilée, jardin, fdomine, vengeance, Masturbation gifle,

    ... atterrir lourdement le bas de son corps. Malgré un atterrissage pas vraiment plaisant, je suis maintenant confronté directement à ses délices. Adeline ondule son corps plusieurs fois, jusqu’à ce que ses fesses reposent sur mon nez. Tout en martelant ma bite, je respire par la bouche et ma langue essaie de lécher discrètement sa chatte. Il ne faut guère de temps pour que ma queue soit au sommet de sa forme et quelques minutes plus tard, j’obtiens à un orgasme libérateur. En éjaculant, je pointe consciemment mon sexe sur elle et non pas sur mon ventre, dans l’espoir que mon jet soit si génial que je puisse atteindre Adeline. Je ne peux pas le voir, je peux seulement le ressentir. Je ne suis donc pas sûr de la quantité de semence que je viens de libérer. Évidemment, j’ai senti que du sperme a atterri sur mon ventre et ma poitrine, alors l’espoir d’avoir atteint ma femme d’un jet puissant augmente et… s’est concrétisé ! Adeline reste assise sur moi assez longtemps, jusqu’à ce que ma verge soit complètement au repos. Quand elle se lève, je vois que je lui ai touché le ventre et que même sa fesse gauche est recouverte de mon sperme. Il y en a aussi une quantité considérable sur mon ventre et ma poitrine. Adeline ne dit rien, ramasse son top, son slip, son peignoir et ses pantoufles et s’éloigne en toute hâte de la chambre, couvrant sa fesse d’une main pour éviter que mon sperme ne coule partout. Après que je me suis soigneusement nettoyé avec quelques Kleenex, je mets aussi mon ...
    ... peignoir et la suis. Elle est de nouveau assise dans le salon pour siroter la bouteille de cognac. — Je crois ton histoire, tu n’as pas éjaculé hier ! Mais tu aurais dû tout faire pour empêcher cette femme de t’approcher. Je me tais, je ressens de l’espoir et dis une fois de plus que je suis navré. Les semaines passent et je fais tout ce que je peux pour être pleinement accepté par Adeline, mais elle reste particulièrement distante. Au lit, c’est le calme plat et bien sûr, j’évite le bistrot. Un soir pendant le dîner, Adeline s’adresse à moi avec une esquisse de sourire. — Ce soir, c’est ta soirée-copains, non ?— Oui, mais je n’irai pas. Je resterai avec toi.— Je veux que tu ailles t’amuser, mais que tu te comportes de façon irréprochable, cette fois : ni cuite, ni femme, dit-elle.— Tu peux compter sur moi ! Merci, mon amour. Ma réponse est sincère. Après le dîner, je me prépare à y aller. Juste avant que je m’en aille, Adeline demande : — Quand t’es-tu masturbé pour la dernière fois ? Surpris par sa question aussi directe, je hausse les épaules. — Allez, dit-elle, je sais que tu le fais, alors dis-moi quand c’était la dernière fois.— Tu ne te mettras pas en colère ?— Est-ce que toi tu sais quand je me masturbe ? dit-elle.— Non, absolument pas… À vrai dire, je n’ai jamais imaginé qu’elle se masturbe sans moi. C’est idiot, mais c’est ainsi ! — Tous les jours, puisque nous n’avons plus de relations sexuelles.— Avant-hier, dis-je, avant-hier soir, je me suis branlé pour la dernière ...
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