L'arroseuse arrosée
Datte: 09/06/2018,
Catégories:
fh,
cocus,
inconnu,
grossexe,
fépilée,
jardin,
fdomine,
vengeance,
Masturbation
gifle,
... rien. Mais l’attitude d’Adeline m’horrifie. — Si tu as été baisé hier soir, comme tu le prétends et que tu n’as pas joui, tu as sans aucun doute les couilles bien remplies ce matin… Je la regarde d’un air interrogateur et réalise qu’elle a peut-être raison. — Je veux voir le contenu, comme ça, je saurai si tu as vraiment été violé ou si tu es amoureux de cette inconnue, dit-elle d’un ton raisonnablement posé. Ses paroles me surprennent : elle utilise le terme violé, qui n’est pas tout à fait approprié dans mon cas. Mais la dame a profité de moi parce que j’étais saoul, même si je ne l’ai pas vraiment arrêtée. Ce qui est sûr, c’est que je ne suis amoureux de personne d’autre. — Je ne suis amoureux de personne d’autre que toi, je ne la connais même pas par son nom et, OUI, elle a profité de moi.— Prouve-le donc ! dit Adeline.— Comment veux-tu… ?— Branle-toi devant moi !— Pardon ?— Tu as très bien entendu ! Masturbe-toi et montre-moi que tes couilles sont bien remplies. Je veux vérifier si ton histoire est plausible, dit-elle sur un ton qui ne tolère pas la contradiction. Priant pour ne pas avoir à subir une telle humiliation, je lui offre mes yeux les plus tristes. Adeline, cependant, est impassible. — Baisse ton pantalon ! On sera vite fixés. Pendant que je suis ses ordres, je continue à la regarder tristement. Je me tiens une nouvelle fois nu devant elle. — Allez, branle-toi et montre-moi combien de sperme tu as. C’est avec honte que je commence la mission que je n’ai jamais ...
... accomplie pour elle. Bien sûr, j’ai éjaculé des dizaines de fois sur elle, mais je n’ai jamais dû le faire dans de telles circonstances. De plus, sa tenue actuelle, un peignoir et des pantoufles à tête de chat, n’est pas vraiment excitante. Alors j’ai bien du mal à bander. — Qu’est-ce qu’il y a ? Tu n’arrives pas à bander ? Aurais-tu menti ?— Je n’ai pas menti ! Mais je ne trouve pas ça vraiment excitant, dis-je honnêtement en désignant son peignoir. Je reçois une forte poussée sur les épaules et je tombe sur le lit. Adeline se balade alors dans la chambre à la manière d’une strip-teaseuse sur son podium et enlève ses pantoufles, laisse tomber son peignoir en jouant des épaules et grimpe en petite culotte et top sur le lit. — C’est mieux comme ça ? demande-t-elle en s’agenouillant à côté de moi. Je hoche la tête et commence à tirer ma bite, qui maintenant se lève lentement grâce à la vue sur la jolie silhouette de ma femme. Les tétons qui pointent sous son top m’ont toujours excité. Et elle le sait. — Dépêche-toi, dit Adeline, je veux savoir !— D’accord, mais faut me montrer un peu plus d’enthousiasme, dis-je pour indiquer que la situation n’est toujours pas très stimulante. Ce qui n’est pas tout à fait exact, mais qui n’ose rien n’a rien… D’un geste, le top et la culotte volent rejoindre peignoir et têtes de chat, et la jambe d’Adeline passe au-dessus de ma tête, de sorte que son derrière voltige au-dessus de mon visage. Et, comme si ce dernier était un canapé, elle y laisse ...