1. La Sauvageonne Kanouri


    Datte: 21/07/2017, Catégories: fh, Oral pénétratio, amourcach, prememois,

    ... terrait dans des coins pas possibles, oubliés des dieux, loin des grandes voies de communication. Bah ! Qu’importe ! Sans surprise, la tentation fut la plus forte. Abdul et moi-même tombâmes d’accord et convînmes des modalités de la réalisation, laquelle s’emmancha dans la foulée. Je relevai mon pagne et pris la position que mon mentor me recommandait, couchée à plat ventre sur un sac de mil et la lune bien exposée. Son sexe était très dur, il tâtonna un instant avant de trouver sa voie. Ce sagouin blessa mon périnée. Il me fit mal, très mal, et la souffrance fut encore plus cuisante quand sa verge pénétra mon vagin. Je hurlai et tentai de me dégager mais le boutiquier maintint solidement la prise. Il garda la position et resta immobile, le temps que je me calme. Après un moment, mon supplice devint supportable, je relâchai mes muscles et cessai de crier. Abdul profita de l’accalmie pour reprendre en douceur et dès lors, la douleur était beaucoup moins terrible et même très tolérable. Le sexe du mâle emplissait mon ventre tandis que le gras de son bide battait contre mes fesses. D’étranges sensations bouleversaient mes entrailles, ce n’était pas l’extase, loin de là, mais pas désagréable non plus. Le phallus trouvait sa place dans mes chairs. Il fouillait, palpitait, tressautait, crachait. Cette turgescence extrêmement raide qui s’octroyait droit d’entrée dans les tréfonds de mon intimité me déconcerta assez, au point que je mobilisai tous mes sens et gardai l’affût ...
    ... pour mieux comprendre le phénomène. Ce jour-là, je quittai la boutique, l’entrejambe passablement souillé. Du sang et du sperme poissaient mes cuisses mais je n’en avais cure, moins soucieuse d’hygiène que de mes paquets tout neufs, pleins de biscuits dont je me régalais par avance. Je mangeai tout, seule et d’une seule traite, de peur d’être surprise en possession d’une friandise aussi compromettante. La gourmandise aidant, il y eut d’autres fois où je me prostituais de la sorte. Cela devenait même une habitude agréable. L’intromission n’était plus du tout douloureuse et je m’adonnais à la gymnastique avec de plus en plus d’entrain. Quand le boutiquier me prenait, ce qu’il faisait toujours par-derrière, un instinct viscéral faisait que j’accompagnais de mon mieux la quête masculine. Mes ardeurs n’étaient pas feintes et mon assiduité était irréprochable parce que je prenais un réel plaisir dans ces rapports. Je crois bien que j’aurais laissé faire l’épicier même s’il ne m’avait plus récompensée. À la période de soudure, les sacs de mil devenant rares dans l’arrière-boutique, nous optâmes pour une pile de sacs de farine qui s’avéra un accessoire tout aussi commode pour notre exercice. L’important était que l’appui me donne une position confortable et que mon bassin soit à bonne hauteur pour que mon partenaire me pénètre commodément. Incidemment, c’était sur ces satanés sacs de farine que je forgeais ma volonté de m’instruire, laquelle naissait certains jours quand j’ahanais ...
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