La Sauvageonne Kanouri
Datte: 21/07/2017,
Catégories:
fh,
Oral
pénétratio,
amourcach,
prememois,
... distraitement tandis que les hiéroglyphes que je ne savais pas déchiffrer s’étalaient sous mon nez. Cependant, ce choix des sacs de farine avait aussi des inconvénients et notamment celui d’être très farineux. Ceux qui fréquentent les fournils sauront quel était mon problème, tant et si bien que je préférais finalement me déshabiller entièrement préalablement à nos rapports, pour épargner mes nippes et, ultérieurement, ne pas prêter à soupçons. Le déshabillage en soi n’était pas extraordinaire ni bien difficile vu que mes seuls vêtements étaient un vague tee-shirt et le pagne qui ceinturait mes hanches. Chez nous, les culottes et les soutien-gorge n’étaient pas des lingeries très usitées et en tout cas, je n’en usais pas en ce qui me concerne. Pour autant, nous avions nos pudeurs, on ne s’exhibait pas à tout propos. Néanmoins, j’aimais assez me dénuder devant Abdul, mais avant tout, c’était l’étincelle que j’entrevoyais dans son œil qui me ravissait. Je retrouvais cette lueur quand je me redressais après qu’il avait éjaculé. La farine dessinait des arabesques étranges sur mon épiderme, lesquelles contrastaient comiquement avec mon teint d’un noir des plus purs. L’œuvre aux contours chaque fois plus fantasques et ces contrastes de couleurs nous amusaient toujours. Dans ces moments, l’œil d’Abdul brillait de nouveau de cette manière mystérieuse qui m’enchantait tant. Il m’aidait à me débarrasser de ces décorations fantaisistes. Sa main s’attardait davantage et se montrait ...
... plus tendre tandis qu’il abordait mon ventre ou mes seins, et il ne dédaignait pas de s’égarer sur mes fesses s’il n’avait plus rien à nettoyer. Ces attentions m’émouvaient terriblement et faisaient naître chez moi des sensations curieuses. Il arrivait parfois que nous nous accouplions de nouveau. Dans ces cas-là, je reprenais la position. Certes, mon boutiquier chéri manquait diablement d’imagination et je n’osais pas moi-même déborder du cadre tracé parce que je croyais dur comme fer que le respect de la procédure était le meilleur garant de ma virginité. Mais comment ai-je pu être aussi crédule ! Ce sujet alimente encore ma perplexité alors que des dizaines d’années ont passé. S’il n’était pas question d’explorer le Kamasoutra, il arrivait pourtant qu’on varie les gâteries. La première fois est survenue ce jour où je m’extasiais de la puissance des attributs masculins. Mes connaissances en la matière étaient des plus basiques et Abdul, lui-même, ne les exhibait pas plus que nécessaire. Sans doute était-ce pour cela que ma curiosité était en éveil, toujours est-il que je m’empressais avec une fringale non dissimulée quand le destin me donnait l’opportunité d’avoir la paire de couilles bien en main. Inutile de m’étendre plus qu’il n’est besoin, disons que j’étudiais en détail cet appendice époustouflant, tant et si bien que mon partenaire m’invitait à poursuivre l’analyse et même à goûter, mais moi j’avais des réticences à le faire. — Arrête, Abdul ! … C’est dégueulasse. … Ton ...