À deux pour une collègue
Datte: 10/06/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
extracon,
Collègues / Travail
gros(ses),
hotel,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
J’ai 45 ans et un physique assez moyen. Divorcé depuis quelques années, je n’ai pas de relation vraiment suivie avec une compagne. Alors je papillonne, dans mon entourage ou alors sur internet. Il y a de ça quelques mois, nous avons été chargés, avec deux de mes collègues, d’organiser la fermeture de notre dépôt de Limoges, ou plus exactement de mettre à la benne toute la merde qui s’entassait dans ce local vétuste. Martial a la cinquantaine bien tassée. Vieux célibataire bedonnant, il arbore un physique assez lourdaud. Quant à Gilberte, elle a à peu près son âge et n’est plus, elle non plus, de toute première jeunesse. Qui plus est, elle est mariée et c’est loin d’être une bombe, avec son ventre rond, son double menton et son cou taurin. Le soir du premier jour, nous nous retrouvons tous les trois à l’hôtel autour d’une bonne bouteille de vin. Pour une fois que nous sommes en déplacement, autant en profiter. Et puis mes deux collègues sont apparemment de bons vivants, ils ont un sacré coup de fourchette et puis une bonne descente. L’alcool aidant, les plaisanteries fusent, parfois grivoises. Martial raconte une histoire de bite au cul qui fait glousser Gilberte. Cette collègue, d’ordinaire plutôt réservée, semble soudain se dérider. Curieusement, de mon côté, cela m’excite aussi, je la vois désormais sous un autre angle. Nous regagnons ensuite nos chambres. Je suis à peine au lit que le téléphone se met à sonner. C’est Martial : — T’as vu comme elle était excitée, ce soir ! ...
... Elle était vraiment très mure.— Qui ça ?— Ben la Gilberte ! Ne me dis pas que tu n’y as pas pensé, je t’ai vu la regarder. T’avais envie de te la faire, mon salaud. Moi aussi, elle m’excite cette grosse pouf. Je suis sûr que si l’on s’y prenait bien, elle ne dirait pas non, et même pour qu’on la baise ensemble.— Elle ne voudra pas, cela fait presque trente ans qu’elle est mariée, et avec le même mec.— Ne t’inquiète pas pour ça ! Justement, elle doit en avoir marre de son vieux machin. Je suis sûr que c’est le genre de nana qui, une fois bien excitée, en oublie son alliance. Et puis, je te parie qu’au lit c’est une vraie cochonne. Cette conversation aiguise un peu mon appétit. J’ai même du mal à m’endormir, je n’arrive pas à chasser certaines images de mon esprit. Je revois ma collègue glousser sous les plaisanteries grivoises de l’autre gros pervers. Elle est plutôt bizarre cette nana, elle a les cheveux coupés très courts, presque la boule à zéro, ça lui donne vraiment une drôle de bouille. ----------------- Le lendemain matin, je me mets à bander dès le petit-déjeuner en imaginant tout ce que je pourrais faire avec Gilberte. Elle n’est plus très fraîche mais, malgré son embonpoint, je la trouve plutôt bandante. Et puis, elle a une très grande bouche, propre à tailler des pipes. Je la regarde parler sans écouter ce qu’elle raconte, je l’imagine à genoux devant moi, avaleuse de pine… Mais je suis prêt à parier qu’elle prendrait relativement mal une proposition aussi directe, ...