1. À deux pour une collègue


    Datte: 10/06/2018, Catégories: fh, fhh, extracon, Collègues / Travail gros(ses), hotel, Oral préservati, pénétratio, fsodo,

    ... la séduire. Et elle ne semble pas insensible à ma façon de faire… Délicatement, mon pied frôle le sien sous la table, elle ne se refuse pas à cette caresse. J’ajoute des compliments sur sa beauté, je trouve qu’elle s’est vraiment bien mise en valeur… il n’y a que quand j’ose une main sur sa cuisse qu’elle me remet gentiment à ma place. Martial, comprenant mon petit manège, redouble d’effort pour la draguer. Gilberte est vraiment très entourée, très courtisée, à tel point que les autres clients nous regardent, intrigués, et que le serveur blêmit en apportant les plats. « Sois tranquille, mon gars, on ne va pas la baiser sur la table ». Dessert, café, pousse café. Nous nous retrouvons tous les trois dans le couloir de l’hôtel, à dire des grosses conneries et à brailler comme des malotrus. Nous arrivons enfin devant la porte de Gilberte. Va-t-elle nous laisser entrer ? — Et bien, au revoir les hommes, dit-elle simplement, j’ai passé une très agréable soirée en votre compagnie. Elle a bien l’intention de nous planter là, cette salope. — Tu pourrais au moins nous faire un petit bisou, réclame alors Martial. J’acquiesce du bonnet. Elle consent enfin à nous faire la bise, après un « d’accord, mais soyez sages » assez peu convaincant. Une bise, deux bises trois bises, des bises de plus en plus appuyées, elle prend ça comme un jeu car nous cherchons, chacun notre tour, à l’embrasser sur la bouche. Elle se refuse mais nous laisse, malgré tout, à chaque fois, retenter notre chance. ...
    ... Nous l’entourons, elle est coincée contre le mur. Et elle glousse, elle n’arrête plus de glousser, est-ce l’effet de l’alcool, mais elle ricane comme une foldingue un peu décérébrée. Une main baladeuse se hasarde sur sa grosse poitrine. Je lui pétris les seins, je les malaxe. L’instant d’après c’est Martial qui lui palpe les fesses. Elle en devient toute rouge et perd peu à peu toute contenance. Elle se laisse carrément tripoter dans le couloir, elle ne cherche même plus à nous en empêcher et nous en profitons comme de vilains sagouins. Ça a l’air de bougrement l’exciter car maintenant c’est elle qui cherche à nous embrasser. Et elle y met toute la langue, elle nous réclame sans cesse des baisers. Elle me roule une pelle bien baveuse qui semble s’éterniser. Elle est vraiment comme folle, elle en oublie presque où elle est et avec qui elle est. Tandis qu’elle m’embrasse à pleine bouche, je sens sa main qui malaxe mes couilles avec nervosité. Lorsqu’elle reprend enfin ses esprits, c’est juste pour nous ouvrir sa porte et nous entraîner dans sa chambrette. Cette fois-ci, nous y sommes. Il ne nous faut pas bien longtemps pour démasquer les seins lourds de notre collègue. Ses gros nichons tout mous nous font perdre la raison, nous les malaxons de plus en plus fort avant d’arracher d’un coup son chemisier, les coutures craquent. Martial vient alors derrière elle, il glisse ses grosses mains dans les balconnets et fait gicler les opulents appâts. Nous les palpons, nous les tétons, elle ...
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