1. À deux pour une collègue


    Datte: 10/06/2018, Catégories: fh, fhh, extracon, Collègues / Travail gros(ses), hotel, Oral préservati, pénétratio, fsodo,

    ... gémit d’envie et se laisse complètement faire. Nous en profitons pour la mettre complètement nue. Visiblement elle apprécie nos attouchements. Elle est rouge d’excitation et frotte avec impatience les bosses qui déforment nos pantalons. Mon cœur bat la chamade et ma queue me fait mal tellement je suis excité. Mon comparse, qui a, lui aussi, perdu toute retenue, a ouvert sa braguette pour en extraire un sexe volumineux, au gland tout violacé. — Tiens ma salope, elle te plaît celle-là ! rugit-il en dirigeant son sexe vers la bouche de Gilberte. La cochonne embouche la queue en grognant de plaisir. Elle la suce comme une affamée, elle l’engloutit avec voracité. Son appétit fait plaisir à voir d’autant qu’elle gémit d’aise. Elle la voulait cette bite, elle est heureuse de l’avaler. Je sors alors la mienne et l’approche à mon tour de sa bouche. Saisissant nos deux pines entre ses doigts, elle nous pompe maintenant à tour de rôle. Elle est complètement déchaînée. Alors qu’elle suce Martial, la grosse femme tourne de temps en temps sa tête pour donner des coups de langue sur mon gland turgescent. Ses gros nichons qui pendent sur son ventre me rendent vraiment fou. — Allez couche-toi là, ma cochonne, qu’on te montre ce que deux solides « gaillards » savent faire, dit Martial. Il descend le pantalon de la grosse femme puis baisse sa culotte. Elle s’allonge alors sur le dos et je m’agenouille entre ses cuisses énormes avant de les écarter. Sa chatte est très poilue, très large et déjà ...
    ... luisante d’envie. Question odeur, elle se pose là ! Elle sent vraiment très fort, elle est trempée d’envie. Ses effluves aphrodisiaques achèvent de me faire chavirer, je bande comme un cerf en rut. Je lui bouffe littéralement la moule, me repaissant de ses senteurs intimes. Ma langue n’hésite pas non plus à s’aventurer sur un anus tout aussi odorant. Mon collègue, de son côté, se fait sucer la bite. La tête en arrière, il apprécie à sa juste valeur la bouche goulue et gourmande de cette cochonne qui bave d’envie en le pompant. — On va p’tet passer aux choses sérieuses, grogne-t-il soudain en pétrissant un sein. Il farfouille dans sa poche et sort des capotes de son tifeuille. Il en prend une et balance les autres devant moi, sur la moquette. Tandis que j’enfile une protection, ce salaud en profite pour prendre ma place et se positionne entre les cuisses de la Gilberte, il la pénètre de toutes ses forces. Elle pousse alors un grand feulement. Il se met à la bourrer avec acharnement, à grands coups de reins. Les gros nichons de la femme mure en sont secoués dans tous les sens. Il ne la baise pas, il la pilonne avec violence. Elle ahane mais ça a l’air de lui plaire, elle saisit son amant par le fessier pour l’attirer un peu plus en elle. Pour ma part je voudrais juste me faire sucer, mais secouée comme elle l’est, c’est difficile pour elle de se concentrer sur ma queue, alors je me branle juste sur son visage en malaxant ses gros nichons. — Allez, maintenant, le petit, grogne ...
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