À deux pour une collègue
Datte: 10/06/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
extracon,
Collègues / Travail
gros(ses),
hotel,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
... on va se recevoir au minimum un refus et probablement une paire de claques 11h, nous nous retrouvons autour d’une pause café. L’atmosphère est très détendue. Martial drague désormais ouvertement la grosse femme mariée. Il ne prend plus de gants et il attaque sec, il lui fait mille compliments tous plus osés sur son physique. Gilberte est hilare, elle se contente de glousser, comme à son habitude. Visiblement, les avances de notre ami ont plutôt l’air de la satisfaire. Comme toutes les femmes, elle doit aimer se sentir désirée. Mais de là à succomber à la tentation, je pense qu’elle en est encore très loin ! — Tu as déjà fait l’amour à trois, avec deux hommes ? finit-il par lui demander.— Oh non jamais, et je crois que mon mari n’apprécierait pas trop.— Tu aurais pu le faire de ton côté, sans ton mari et sans lui en parler.— Je suis fidèle, moi monsieur ! tranche-t-elle avec un sourire plein de malice.— Fidèle ? Fidèle ? Elles disent toutes ça, je ne rencontre que des femmes mariées fidèles qui sont pourtant heureuses de se retrouver au bout de ma queue.— Ohhhh ! gémit-elle, faussement choquée… Je ne mange pas de ce pain là. Il éclate alors d’un rire bien gras et pour le moins vulgaire. Il transpire le sexe par tous les pores de la peau, ce gros porc adipeux. — Allez, Gilberte, avoue ! Je suis sûr que t’aimerais bien en croquer. Ça ne te dirait pas d’essayer avec deux solides gaillards comme nous ? On pourrait te faire du bien… Mais elle prend tout à la plaisanterie. Pourtant, ...
... quelque part, Martial semble plutôt sérieux, il se voit déjà lui faire l’amour dans ce bazar, entre les cartons, ou sur la moquette sale du vieux bureau. Ceci dit, ces locaux poussiéreux ne sont pas ce qu’il y a de plus propice pour une partie de jambes en l’air. Après avoir lourdement insisté, nous reprenons notre taf. Pour le moment, nous en restons donc là. ----------------- Seconde soirée au restaurant, toujours à la bonne franquette. Je remarque que Gilberte s’est fait une beauté et que, ce soir, elle se montre particulièrement affable. Elle a mis un chemisier blanc très échancré qui dévoile une gorge profonde, un vrai appel au viol. Quant à sa bouille très ronde, avec ses cheveux coupés en brosse, presque rasés, elle l’a ornée de ses plus beaux atours : un rouge à lèvres carmin, un maquillage très prononcé et de grandes boucles d’oreille en pendentif. Elle aurait voulu nous exciter qu’elle ne s’y serait pas prise autrement ! Quand j’arrive à la table, mes deux collègues en sont déjà à l’apéritif. Martial attaque sec et ses allusions sont plus qu’osées. La conversation tourne autour du sexe et les propos sont plutôt salaces. Je sens que Gilberte trouve parfois notre collègue vraiment lourdingue. C’est vrai qu’il en fait vraiment des tonnes et qu’on le voit venir de loin avec ses gros sabots. Du coup, je tente ma chance sous un tout autre registre. À mon tour de la draguer, mais plus discrètement que lui et de façon un peu plus subtile. Je lui fais du charme, j’essaie de ...