1. À deux pour une collègue


    Datte: 10/06/2018, Catégories: fh, fhh, extracon, Collègues / Travail gros(ses), hotel, Oral préservati, pénétratio, fsodo,

    ... mon comparse, après l’avoir bien limée. Avec une facilité déconcertante, il la retourne comme une crêpe, l’oblige à prendre appui sur le rebord de la table. Les grosses mamelles pendent sous elle de façon obscène, telles deux grosses outres vides. D’une main Martial lui écarte les fesses tandis que de l’autre il amène sa queue vers le petit trou qu’il perfore d’une poussée rageuse. La Gilberte doit avoir l’habitude de ce genre de pratique car elle s’y soumet de bonne grâce, sans rechigner. C’est tout juste si elle pousse un râle rauque au moment où il la perfore. — Ah ma salope, t’aime ça te faire enculer, constate le gros pervers. Avoue que tu la sens bien ma bite dans ton petit cul. Elle gémit et va à la rencontre de cette bite fichée dans son derrière, elle a l’air bougrement excitée. Son visage a viré rouge brique, des yeux révulsés, des rictus vraiment lubriques. — Oh putain, t’as vu cette salope comme elle aime se faire mettre ! ajoute encore Martial, ce qui a le don d’arracher de nouveaux gémissements à sa belle. Ces deux-là sont complètement déchaînés. Ils ont perdu toute retenue… Le tableau est hallucinant : les gros seins ballottent d’avant en arrière, de façon obscène. Il brame et elle hoquette. Je présente alors ma queue devant la bouche goulue, elle me suce tant bien que mal, secouée qu’elle est par les coups de boutoir du mâle en rut. Gilberte, qui vient de jouir, est secouée de longs spasmes qui traversent tout son corps. Martial pousse alors un grand cri en ...
    ... grimaçant, il se cambre en se vidant en elle. À le voir, il doit prendre un pied d’enfer. C’est trop excitant, je ne peux plus me retenir, je n’ai pas le temps de la baiser. J’arrache la capote et je me branle comme un malade en baisant la bouche de ma collègue, au risque de l’étouffer. Puis j’éjacule grassement sur le visage de la belle, des giclées partent sur ses joues jusque dans ses cheveux. ----------------- Nous sommes tous les trois dans le lit, en train de reprendre nos esprits, quand le portable de Gilberte se met à vibrer. Elle se lève, saisit l’appareil et revient se coucher entre nous. Elle nous fait signe de nous taire, de ne plus faire de bruit. Nouvel appel, c’est son mari : — Mais oui, chaton… Ça y est, je suis dans ma chambre, je suis dans mon lit… Bien sûr, toute seule…— …— Et toi, que fais-tu ? … Tu regardes un film de cul et tu te branles ! Si je comprends bien, il est temps que je revienne pour m’occuper de toi… Tu vois, comment tu es, quand je suis avec toi, tu t’occupes à peine de moi et il suffit que je parte quelques jours pour que cela t’excite…— …— Oh moi aussi, chaton, j’ai très envie de toi, ma petite chatte est en feu quand je pense à ta grosse queue… Hummm oui, quel programme ! Tu me baiseras sous toutes les coutures… Oui, tu sais bien que j’aime ça… Gilberte est hilare, consciente de la bonne blague qu’elle fait à son mari. Elle s’est assise sur le lit et se laisse tripoter pendant qu’elle téléphone. — … Au bar ? Non, je ne traîne pas au bar. Tu ...
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