1. Chère Marquise Ch. 02


    Datte: 22/07/2017, Catégories: Accouplements Érotiques,

    ... plateau de chair tendre. - Voilà une belle façon de faire le service, vous ne trouvez pas? La servante s'approcha de Véronique, qui se pencha en avant et s'empara délicatement d'un canapé, directement avec la bouche. - Humm, délicieux.... Avec un petit goût de chair fraîche, un régal! C'est à ce moment que la Marquise fit son entrée sur la terrasse. Chacun se tut, ébahi par tant de splendeur. Elle avait réussi le tour de force d'apparaître à la fois indécente et pudique, provocante et sage à la fois. Elle avait revêtu une ample robe de mousseline de soie noire, retenue à la taille par une large ceinture ornée de pierreries. En transparence, chacun pouvait voir sa poitrine ferme, soutenue par un balconnet noir, ses hanches et ses fesses galbées, à peine cachées par une bande de dentelle. Ses pieds étaient chaussés des plus extraordinaires souliers que l'on puisse imaginer, une seconde peau de cuir noir, ouverts pour laisser apparaître un orteil à l'ongle vernis de ronge sombre, avec une lanière qui enserrait sa cheville fine. Quant aux talons, il était difficile de concevoir comment il lui était possible de marcher sans trébucher, tant ils étaient hauts et fins. Son corps était paré de bijoux tel celui d'une déesse, fines chaînes d'argent qui ornaient ses chevilles, sa taille, son cou, boucles d'oreilles, bagues aux doigts et aux orteils. Sortant enfin de sa contemplation, le Chevalier se précipita au devant de la Marquise pour l'accueillir. Délicatement, il lui baisa la main, ...
    ... puis la prit par la taille pour lui présenter les invités. Pierre lui baisa la main également, Véronique posa légèrement les lèvres sur son sein, effleurant le téton sensible à travers l'étoffe fine. Hugo tomba à ses pieds et déposa un baiser respectueux sur la pointe de son soulier. Sophie, toujours distante, se contenta d'une brève inclinaison du buste. Les présentations faites, la Marquise s'assit dans un fauteuil, une coupe de champagne à la main. Les conversations reprirent, ponctuées de rires et de caresses. Pierre lutinait alternativement la servante et Véronique, qui avait à présent la robe relevée sur les hanches. Elle exhibait sans fausse honte ses fesses rebondies et cambrées, et chacun pouvait lorgner son sexe entièrement rasé, orné d'un petit bouquet de roses tatoué sur son mont-de-Vénus. Il ne fallut pas longtemps pour que, encouragée par Pierre, elle ne commença à se caresser, adossée au buffet. Ses doigts agiles parcouraient son ventre bombé, s'aventurant à chaque fois davantage entre ses cuisses. Pierre faisait couler doucement un peu de champagne sur sa peau. Ce contact froid et pétillant lui fit perdre la tête, elle s'exhiba entièrement, offrant aux regards ses lèvres lisses et humides. Elle se caressait franchement à présent, ses doigts glissant sans efforts dans son intimité. De temps en temps, elle les tendant à Pierre, qui les suçait goulûment, goûtant avec délice à sa mouille mêlée de champagne. Prise par la frénésie causée par ses caresses, Véronique ...
«1234...9»