1. Chère Marquise Ch. 02


    Datte: 22/07/2017, Catégories: Accouplements Érotiques,

    ... faillit perdre l'équilibre. Le Chevalier, prévenant, lui offrit un coussin pour qu'elle s'y allonge; puis il s'agenouilla aux pieds de la Marquise. Délicatement, il entreprit de la déchausser. Retournant vers Véronique, il lui tendit le soulier. Elle se redressa, s'en saisit, et comprit ce que ce geste signifiait. Les yeux mi-clos, elle huma l'odeur voluptueuse du cuir chaud, caressant l'empeigne, la cambrure extrême, des doigts d'abord, des lèvres ensuite. Arrivée à talon, elle le lécha, le rendit brillant de salive, avant de l'emboucher, de le sucer, de le faire aller et venir comme un sexe entre ses lèvres. Tirant sur le haut de sa robe, elle libéra ses seins aux pointes déjà gonflées. Elle les caressa de la semelle, les écrasant, les frappant doucement jusqu'à ce que ses chairs rosissent, avant d'enserrer la chaussure entre ses outres gonflées qu'elle pressait à deux mains. Puis elle entreprit de titiller ses tétons, les aguichant de la pointe du talon, s'excitant du contact du cuir sur sa peau sensible. Chacun contemplait le spectacle en silence, le souffle court. Pierre avait ordonné à la servante de le caresser, et sa main enserrait avec peine son sexe épais. Hugo brûlait d'impatience de la remplacer, et son regard enflammé allait sans cesse du corps offert de Véronique à la belle queue de Pierre. Même Sophie avait pour un instant quitté son air glacial et avait glissé sa main dans l'échancrure de son corsage, agaçant ses mamelons au même rythme que Véronique ...
    ... caressait les siens de la pointe métallique du talon. La Marquise, les jambes croisées, sa tunique relevée haut sur ses cuisses buvait des yeux le corps offert de cette femme qui se caressait devant ses yeux. Le Chevalier s'efforçait de rester impassible, même si une bosse significative gonflait l'avant de son pantalon. Véronique avait fait glisser l'objet de ses désirs de ses seins à son ventre. Elle passait l'empeigne de cuir luisant le long de ses lèvres, l'enduisant de ses sécrétions. Lorsqu'elle se sentit prête, elle retourna la chaussure, présentant la pointe aiguë du talon à l'entrée de son sexe. Avec une infinie douceur, elle le fit rentrer dans son ventre, savourant chacune des sensations que lui procurait cette tige de cuir et de métal qui griffait doucement ses chairs brûlantes. Lorsque le talon l'eut entièrement pénétrée, elle frotta la semelle rugueuse sur son bouton d'amour, faisant ainsi naître des vagues puissantes de plaisir dans ses reins, tout en imprimant à la chaussure un mouvement de va et vient de plus en plus rapide. Seul le brut saccadé de son souffle court troublait le silence. D'une main, elle caressait ses seins, les pétrissant comme pâte, s'attardant sur ses tétons violacés qu'elle pinçait avec force; de l'autre elle se branlait avec le talon de la chaussure de la maîtresse de ses rêves. Cambrée à l'extrême, elle offrait son ventre enflammé, ses cuisses ouvertes où coulait sa mouille, aux regards de tous. Elle était partie dans un monde lointain, un monde ...
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