1. Lubéron, terre de calme et de sérénité


    Datte: 15/06/2018, Catégories: fh, fagée, extracon, inconnu, grossexe, vacances, campagne, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, coprolalie, confession, totalsexe, occasion, bourge, Voyeur / Exhib / Nudisme

    Ce samedi de début août, j’ai pris un avion pour rejoindre notre maison de vacances dans le Lubéron. J’attendais cette pause estivale avec tellement d’impatience que j’ai oublié la moitié de mes affaires de toilette. Mon mari avait encore une semaine de travail et me rejoindrait le samedi suivant en voiture. Notre petite fermette restaurée est située dans une petite clairière, loin de tout, en pleine nature. C’est vert, doux, calme ; un paradis. Mon paradis. Il était 20 heures quand je me suis engagée dans le long chemin qui mène à notre propriété. Le cantonnier devait être malade. Des fougères énormes et des herbes folles avaient envahi le chemin. Quelques branches cassées donnaient à l’ensemble l’aspect d’un endroit désaffecté, d’une zone autrefois habitée puis laissée à l’abandon. Le petit lac, lui, semblait avoir résisté à l’invasion de la végétation. Sans doute quelques pêcheurs avaient-ils contribué à maintenir l’endroit en état. J’adore le premier jour, celui où je passe de l’ombre des arbres à la lumière de la clairière pour redécouvrir ce havre de paix avec sur la droite une grange où nous rangeons le bois et le matériel de jardin, et sur la gauche notre maison. J’ai sorti la clé de la boîte à gants de la voiture pour me précipiter sur la lourde porte d’entrée. Surprise : la porte n’était pas verrouillée. Il n’y avait cependant aucune trace d’effraction. Je me suis demandé si j’avais bien fermé le mois précédent, sans trop m’inquiéter. C’est en entrant dans la ...
    ... grande pièce de vie que j’ai failli m’évanouir. Quelqu’un était venu. C’était évident. Le canapé avait été déplacé, du linge jonchait le sol, et ça sentait le café et la cigarette. J’ai traversé la pièce pour me rendre dans la cuisine et avoir la confirmation de ce que je pressentais. Des fruits, des bouteilles d’eau et un cendrier plein se trouvaient sur la table. La porte arrière qui donne sur la piscine était grande ouverte. Sur le moment, j’ai eu un peu peur. Il ne s’agissait visiblement pas d’un cambriolage, mais plutôt de squatters qui avaient profité de notre absence pour faire comme chez eux. Je me suis avancée prudemment vers la porte après avoir pris un grand couteau de cuisine pour me donner de l’assurance. Un jeune type d’une vingtaine d’années se trouvait là, allongé nu sur la margelle, endormi sans doute, la bouche ouverte. Cuit par le soleil, son corps fin et musclé était presque entièrement tatoué. Des écarteurs dans les oreilles, un piercing dans le nez, les cheveux ras, une espèce ce crête décolorée, le look grunge parfait. Une jambe tombée dans l’eau, l’autre sur la margelle, il était aussi en train de prendre un coup de soleil entre les cuisses où son sexe pendait. Il n’avait pas l’air bien méchant comme ça, surtout endormi. Je me suis demandé combien ils étaient et où se trouvaient les autres. J’ai crié, levant mon couteau en l’air. — Mais qu’est-ce que vous faites là ? Hé, vous, je vous parle ! Mais qu’est-ce que vous faites là ? L’air pas du tout surpris et ...
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