1. Lubéron, terre de calme et de sérénité


    Datte: 15/06/2018, Catégories: fh, fagée, extracon, inconnu, grossexe, vacances, campagne, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, coprolalie, confession, totalsexe, occasion, bourge, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... oui.— Seulement un peu ?— Oui.— Menteuse !— …— Donnez-moi votre culotte !— …— Donnez-la-moi tout de suite, dit-il, sans cesser son lent mouvement sur sa verge.— …— Hé, Madame, vous n’êtes pas mouillée : vous êtes trempée. Elle sent bon la chatte, votre culotte !— Vous êtes vulgaire !— Ça vous dérange ?— Un peu, oui. Je n’ai pas l’habitude.— Et vous avez l’habitude de regarder des jeunes qui se branlent ?— Encore moins !— Alors oubliez vos habitudes pour une fois. Je vous laisse me regarder me branler, mais vous ôtez votre jupe.— Ça va pas la tête ?— Allez, pas de chichis. Je suis tout nu. Ôtez votre jupe. Au point où nous en étions… J’ai fait glisser ma jupe à mes pieds. Rouge comme une pivoine. — Wouahhh, j’avais raison. Vous êtes magnifique. J’avais jamais vu une chatte avec des poils. Retirez tout !— Tout tout ?— Allez, Madame. Mettez-vous à poil.— Seulement si vous arrêtez d’être vulgaire.— OK, je vais essayer. Vous plairait-il, Madame, de quitter les derniers vêtements qui m’empêchent de me délecter de votre corps nu ?— Ouais… Bah, n’exagérez pas non plus ! Mon éclat de rire passé, j’ai quitté ma chemise et mon soutien-gorge. Curieusement, je n’en éprouvais aucune honte alors que sur la plage, me montrer les seins nus m’avait toujours posé problème. — La vache, quelle paire de loches !— Pardon ?— Vous avez des seins magnifiques, Madame, gros comme j’aime, fermes à souhait, d’une forme parfaite. Voudriez-vous faire un tour sur vous-même pour me présenter votre ...
    ... somptueux postérieur ? Ah ouais… Quel cul !— Pardon ?— Vos fesses sont d’une noblesse évidente. Quelles hanches magnifiques, quelles cuisses divines !— Merci pour tous ces compliments.— Putain, j’en ai mal à la queue tellement vous me faites bander.— Pardon ?— Mon érection est rendue douloureuse par la vision de votre corps. Vous me faites un effet du tonnerre. Masturbez-vous aussi, s’il vous plaît.— Quoi ?— Allez, je me branle la queue en vous regardant. Vous vous caressez la minette en me regardant me branler. On jouit tous les deux.— Ça va pas la tête ?— Je suis sûr que vous en crevez d’envie !— Non.— On arrête, alors ?— Euh… non.— Vous ne savez pas ce que vous voulez ; alors faites ce que je dis. Caressez-vous la chatte comme si je n’étais pas là.— Je ne peux pas.— Vous ne pouvez pas vous masturber ?— Non. Pas comme si vous n’étiez pas là. Je vois bien que vous êtes là. À ces mots, j’ai caressé mes seins en titillant mes tétons, en tirant dessus. Évidemment, il voyait bien que mes seins étaient gonflés par l’envie. J’ai descendu une main tout doucement vers mon sexe pour en écarter les lèvres et faire de mon index quelques mouvements circulaires autours de mon clito. Le plaisir est venu assez vite. J’ai écarté un peu les cuisses pour passer ma main et m’introduire un doigt et faire des allers-retours dans ma vulve en fusion. Le jeune ne parlait plus. D’une main, il tenait ma culotte sous son nez ; de l’autre il se branlait doucement. Puis il a écarté un peu plus ses cuisses, a ...
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