Lubéron, terre de calme et de sérénité - Histoires de Sexe

Lubéron, terre de calme et de sérénité

... encore moins paniqué, il a ouvert les yeux, a tourné sa tête vers moi, m’a souri, puis s’est redressé sur ses coudes pour me regarder. — Vous devez être la propriétaire ?— En effet, oui. Vous êtes chez moi ! Qui vous a permis ? Est-ce que vous croyez qu’on entre chez les gens comme ça ? Et qui vous a autorisé à bouger mes meubles ? Et comment vous avez ouvert la porte ? Et je n’ai pas vu de voiture ; comment êtes-vous venu jusqu’ici ? Et vous êtes combien ici ? Et…— Hé, Madame, je n’ai pas le temps de répondre si vous posez toutes vos questions à la suite. Ne vous inquiétez pas, je n’ai rien abîmé.— Ce n’est pas la question. Vous n’avez rien à faire ici. Vous êtes seul ?— Oui, je suis seul, Madame.— Et qu’est-ce que vous faites ici ?— Je suis parti au hasard avec mon sac à dos. J’ai frappé pour demander de l’eau. Personne n’a répondu. La porte était ouverte, alors je me suis installé.— Vous êtes là depuis quand ?— Je ne sais pas. Dix jours peut-être. Ne vous inquiétez pas, je vais partir tout de suite.— Oui, s’il vous plaît. Et pensez à vous habiller avant de partir.— Ah oui, excusez-moi. Je ne vous ai pas choquée au moins ? C’est seulement quand il m’a posé cette question que j’ai réalisé que son sexe avait gonflé. Ou peut-être l’avais-je mal vu quand il était allongé. — Ça vous ennuie si je prends une douche avant de partir, Madame ?— Au point où on en est, vous savez sans doute ou se trouve la douche ?— En effet, oui. Il s’est levé et j’ai eu confirmation : son sexe ...

... était à l’horizontale, gonflé, à moitié décalotté. Il a croisé ses mains devant pour se cacher. — Bon, ça va, j’ai vu ce que vous cachez. J’en ai vu d’autres. C’est de vous faire surprendre en flagrant délit de violation de domicile qui vous met dans cet état ?— Pardonnez-moi, Madame. C’est que je n’ai pas vu d’aussi belle femme que vous depuis longtemps.— Vil charmeur, va ! Savez-vous quel âge j’ai ?— N’empêche que vous devez être bonne— Je ne vous permets pas, jeune homme ! Vous êtes ici chez moi, dans l’illégalité. Je n’ai qu’à appeler la police et vous allez avoir un endroit pour dormir, mais sans piscine.— Ne vous fâchez pas, Madame. C’était juste un compliment. Et regardez : je n’y peux rien, me dit-il en montrant son sexe du doigt, sexe qui avait encore pris de l’ampleur, qui était maintenant quasiment à la verticale, arrivant jusqu’à son nombril, et complètement décalotté. Je n’ai pas pu réprimer un sourire, à la fois amusée et troublée de qu’il me montrait. Je lui ai demandé de filer à la douche et j’ai tourné les talons pour aller chercher ma valise. Direction ensuite la chambre pour installer mes affaires. Heureusement, il n’avait pas utilisé cette pièce. Quand j’en suis ressortie, je n’ai pas pu m’empêcher de jeter un œil dans la salle de bain dont il n’avait pas fermé la porte. Il était sorti de la douche et s’essuyait, face au miroir. Son sexe était toujours gonflé, un peu moins quand même. Nos regards se sont croisés bien malgré moi dans le miroir. Il a fait comme ...