1. Lubéron, terre de calme et de sérénité


    Datte: 15/06/2018, Catégories: fh, fagée, extracon, inconnu, grossexe, vacances, campagne, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, coprolalie, confession, totalsexe, occasion, bourge, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... s’il ne m’avait pas vue, et son engin s’est remis au garde-à-vous presque instantanément alors qu’il continuait de s’essuyer. S’il m’avait un peu inquiétée quand je l’ai vu au bord de la piscine, je dois bien reconnaître qu’à ce moment-là je ne ressentais plus aucune menace. Encore que j’ai bien senti que ce qui me menaçait, c’était plutôt mon attirance pour ce garçon que je ne connaissais même pas et qui aurait pu être mon fils. Attirance, c’est peut-être un mot un peu fort. Disons que la vision de cette jeunesse virile m’avait ramenée à une époque, l’après 1968, où personne n’éprouvait plus aucune gêne à se balader à poil et où les femmes dites « libérées » jouissaient du corps des hommes à leur guise. Les tabous allaient revenir un peu plus tard pour remettre des carcans encore plus lourds sur la société, mais ces quelques années avaient été pour moi des années folles. Ce jeune, en tout cas, ne semblait en rien gêné par la situation. Il a vu que je le voyais, et peut-être s’est-il dit que ça me plairait de le voir bien dur. Ou était-ce lui, finalement, qui aimait s’exhiber ? Je n’ai pas eu le temps de répondre à cette question. Il a saisi son sexe en se retournant face à moi, et sans me quitter des yeux, a entrepris de se masturber. Quelle belle image que ce garçon à l’air marginal, la queue à la main, excité par une vieille en plus. Il s’est assis sur un tabouret pour continuer de se branler, toujours sans me quitter des yeux. — Ça vous plaît de me regarder, Madame ? Je ...
    ... peux continuer ?— Vous ne manquez pas d’air, vous !— Vous voulez que j’arrête ?— Faites comme vous voulez.— J’arrête alors ?— Non.— Vous voulez que je continue ?— Non.— Vous savez ce que vous voulez ?— Non, dis-je en souriant.— Vous voulez que je vous dise ce que vous voulez, alors.— Ah, vous êtes devin ?— Non. Mais je peux essayer.— Allez-y, qu’on rigole !— Eh bien, disons que vous voulez que je continue, mais vous n’osez pas le dire ; c’est ça ?— Oui, à peu près…— Disons que ça vous excite de me regarder me branler. Vrai ?— Pas faux.— Je pense que vous sentez des picotements dans le bas du ventre. Vrai ?— Pas faux.— Je pense que vous mouillez…— C’est un peu vulgaire, ça !— Ne faites pas la bourgeoise. Vous avez la chatte mouillée, pas vrai ?— Je n’en sais rien.— Alors vérifiez !— …— Allez-y. Passez une main sous votre jupe et vérifiez. Allez !— …— Bon, vous voulez que je vérifie moi-même ?— Sûrement pas ! Je vous interdis de me toucher.— Alors vérifiez. Tout de suite ! Je n’avais pas besoin de mettre mes doigts dans ma culotte pour savoir qu’il avait raison, et que j’étais en train de perdre la mienne. Le sang m’est monté dans les oreilles brutalement, et je pouvais entendre les battements de mon cœur quand j’ai glissé mon index entre mes lèvres. Je n’étais pas en train de vérifier si j’étais mouillée, mais en train de satisfaire une envie immédiate de me toucher pour faire descendre un peu la pression. J’ai ressorti rapidement mes doigts. — Alors, c’est mouillé ?— Un peu, ...
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