1. Lubéron, terre de calme et de sérénité


    Datte: 15/06/2018, Catégories: fh, fagée, extracon, inconnu, grossexe, vacances, campagne, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, coprolalie, confession, totalsexe, occasion, bourge, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... cul, j’ai compris qu’il y avait pris un plaisir immense. — Putain, que c’était bon… Vous voyez, c’est pas si terrible !— Ça va, je ne suis pas morte.— La prochaine fois, vous verrez, vous me lécherez.— Je ne crois pas, non.— Vous savez quoi, Christine ? Je vais vous lécher le premier. Quand vous sentirez ma langue pénétrer votre cul, je suis persuadé que vous allez adorer ça. Après, vous serez tentée de me rendre la pareille. Il me manipulait, c’était évident, mais je n’ai pas résisté à l’envie d’essayer. Je me suis positionnée comme lui juste avant, la tête dans les mains, le cul en l’air. J’ai senti sa bouche au contact de mes fesses pendant que ses mains me saisissaient les seins. Sa langue a fait quelques circonvolutions avant de s’insinuer dans la raie de mes fesses, alors qu’il avait descendu une main entre mes cuisses pour me masturber. Et enfin sa langue est venue tourner autour de ma fleur, tout d’abord très doucement, puis en appuyant de plus en plus fort. Il a cessé de me branler le clitoris pour s’occuper ensuite exclusivement de mon cul, alternant la pression d’un doigt et celle de sa langue. Il avait raison, le bougre ! Si je pouvais mettre de côté mon appréhension, la douce sensation qu’il me procurait était en effet assez subtile, et j’en ressentais des frissons dans tout le corps. Je me suis détendue, le laissant faire. Ses doigts m’ont fouillée alors que sa langue venait faire quelques incursions. J’ai senti mon anus se desserrer progressivement jusqu’à ...
    ... sentir sa langue entrer carrément. J’avais le cul ouvert. Emportée par mon élan bestial, je pense que j’ai remué le popotin plus que de raison, lui montrant que j’aimais ça. J’ai un peu moins aimé quand il est venu coller son bassin à mes fesses, me prendre par les hanches, et essayer de remplacer ses doigts et sa langue par sa bite. J’ai moins aimé, mais j’ai laissé faire. Je l’ai laissé me cracher entre les fesses et étendre sa salive largement. Je l’ai laissé frotter son énorme gland contre ma rondelle. Quand il a pris mes mains pour les guider vers mes fesses pour me les écarter, j’ai obéi à son injonction silencieuse et tirant bien pour écarter au maximum de ce que je pouvais. Et à force de pousser, son gland est passé d’un coup avant de se bloquer ; je hurlais comme une dingue sous l’effet de la douleur, mais il ne s’est pas arrêté pour autant. Il a sorti sa queue pour la présenter à nouveau et a attendu un peu avant de pousser. Le gland est entré plus facilement, et dès qu’il est entré, j’ai senti sa queue me perforer, cette fois en profondeur. Il s’est figé, me laissant le temps de reprendre mes esprits. J’avais mal au cul, mais surtout pas envie qu’il s’arrête en si bon chemin. Je m’étais dit que jamais, au grand jamais personne ne m’enculerait, et j’étais là, à quatre pattes, un énorme engin fiché dans mes entrailles. Il s’est penché sur moi pour approcher sa bouche de mon oreille. — Alors, Christine, on aime se faire enculer ?— Non.— J’arrête, alors ?— Surtout pas. ...
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