1. Lubéron, terre de calme et de sérénité


    Datte: 15/06/2018, Catégories: fh, fagée, extracon, inconnu, grossexe, vacances, campagne, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, coprolalie, confession, totalsexe, occasion, bourge, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... Mais va doucement.— Vous aimez qu’on vous encule doucement, alors. C’est ça ?— Ouiiii…— Et si je bouge un peu comme ça, vous aimez ?— Humm, oui.— Et un peu plus fort, comme ça ?— Non, c’est trop. Doucement. Encule-moi doucement. Obéissant, il s’est attaché à me donner du plaisir sans me faire mal ; mais progressivement, j’ai ressenti le besoin de plus de vigueur. Je me suis mise à reculer vers lui quand il avançait pour qu’il me prenne plus fort, plus profond. Je n’osais pas le lui dire, mais je prenais un pied terrible à sentir son énorme engin me remplir le cul. Puis je me suis lâchée, incapable de me tenir. — Allez, vas-y maintenant. Déchaîne-toi dans mon cul ! Baise-moi plus fort !— Salope…— Ouiiii…— Comme ça ?— Oui, comme ça, vas-y, vas-y, je jouiiiis… J’ai senti mon vagin se crisper, mes jambes trembler, tout mon sang affluer dans mon crâne. J’ai vu des étoiles, j’ai entendu des tambours. Je n’ai pas pu me retenir de pisser sur le lit alors qu’il continuait ses ruades brutales jusqu’à jouir dans mon cul. Il s’est affalé sur moi. Quand il est ressorti, je dois dire que je n’ai pas trop aimé la douleur de l’extraction. Mais bon, il était clair que je n’allais plus pouvoir m’asseoir pendant un moment. Nous sommes allés ensemble à la douche, silencieux. Sous l’eau, on aurait dit un enfant, jouant à m’asperger, dirigeant le jet entre mes cuisses, faisant tourner son sexe en ondulant du bassin. Venait de naître entre nous une complicité étonnante et improbable. J’ai ...
    ... autorisé Joël à rester jusqu’au vendredi. Quand nous allions ensemble en ville faire les courses, il prenait soin de rester à distance pour éviter que nous ne nous faisions remarquer, moi la bourgeoise un peu coincée, et lui le jeune grunge « no future ». Mais aussitôt rentrés dans l’intimité de ma maison, il n’y avait plus de tabou entre nous. J’ai pris goût à ses caresses, tantôt tendres, tantôt plus brutales. J’ai pris goût à ses démonstrations de tendresse quand il était entre mes cuisses à m’embrasser alors qu’il allait et venait en moi tout doucement, nos corps serrés. J’ai pris goût à ses assauts virils quand il me sautait tout debout dans la cuisine ou qu’il me collait à la table de la terrasse pour me fouiller la chatte à grand coups de queue. Et je dois dire que j’ai pris goût, aussi, à la sodomie. Les orgasmes qu’elle me provoque sont à la fois plus forts et plus longs, plus profonds et plus violents. Nous avons roulé quelques dizaines de kilomètres le vendredi après-midi sans choisir de direction précise, puis je l’ai laissé au bord de la route. Il allait continuer en stop. Je l’ai pris dans mes bras en sachant qu’il allait me manquer. Il ne m’a pas demandé mon numéro de téléphone. Je n’ai rien demandé non plus. Je ne l’ai jamais revu. Le samedi toute la journée je me suis affairée au ménage et au lavage des draps souillés. Il fallait que la maison soit propre avant l’arrivée de mon mari. J’ai été réveillée alors que je faisais un somme sur la terrasse, après avoir tout ...
«12...101112...»