Lubéron, terre de calme et de sérénité
Datte: 15/06/2018,
Catégories:
fh,
fagée,
extracon,
inconnu,
grossexe,
vacances,
campagne,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
coprolalie,
confession,
totalsexe,
occasion,
bourge,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... remonté ses fesses et a accéléré son mouvement. — Merci, Madame. C’est tellement beau ce que vous faites… Je vais cracher. Putain, je vais cracher… Sans cesser ses mouvements, il a approché ma culotte de son gland pour que les longs jets qu’il envoyait en se secouant atterrissent dessus. Cette vision m’a soulevée moi aussi du sol, et j’ai joui comme une salope en m’enfonçant tous les doigts que je pouvais dans le sexe béant. À peine mon orgasme terminé, je me suis enfuie comme une gamine, enfuie rouge de honte de ce que je venais de faire. Quand il est arrivé dans la cuisine, toujours nu, je n’arrivais pas à soutenir son regard de braise. Je me suis mise à gamberger.« Ce look, mon Dieu… comment ai-je pu ? Ce genre de mec me fait changer de trottoir dans la rue, et là je m’exhibe sans pudeur, je me masturbe alors que même seule dans le noir j’ai du mal à me laisser aller… » — Madame, ne vous en faites pas : ça va rester entre nous.— J’espère bien.— Vous voulez toujours que je parte ?— Oui.— Tout de suite ?— Vous pouvez rester encore un peu. Mais vous allez partir comment, pour aller où ?— Eh bien, comme je suis venu : à pied. Et j’irai chercher un endroit pour dormir. N’importe où. Je n’ai pas besoin de grand-chose.— Vous pouvez rester ce soir, alors. Il est tard. Je ne vais pas vous mettre à la rue.— C’est gentil, Madame.— Arrêtez de m’appeler « Madame » ; ça fait « vieille machine ». Je m’appelle Christine.— Entendu, Christine. Moi c’est Joël.— C’est marrant. Ton look et ...
... Joël, ça ne va pas trop ensemble.— Ah je vois qu’on se tutoie ?— Tu peux me vouvoyer si tu veux.— Je préfère, oui. Vous m’intimidez.— Pas tant que ça : tu es encore nu.— Ah oui, je suis nature. Ça vous dérange ?— Plus maintenant, non.— Même si je bande ?— Tu bandes ?— Bah, regardez !— En effet. Mais il ne se passera plus rien de graveleux entre nous. Tu peux remballer.— Je peux me branler en vous regardant ?— Non. Ça suffit.— Et vous baiser ?— Me baiser ? Encore des vulgarités ! N’y pense même pas.— Je vais partir tout de suite alors.— Mais il fait nuit.— Tant pis. Je m’en vais puisque vous ne voulez pas de moi.— Mais je veux bien que tu restes dormir.— Je pourrais pas dormir avec vous dans la maison. J’ai trop envie de vous prendre dans mes bras et de vous sauter.— Tu n’as que des vulgarités à la bouche : « me baiser, me sauter »… Quoi encore ?— Vous prendre, vous enculer, vous secouer, vous défoncer…— Ça suffit !— Je suis sûr que vous aimeriez me sucer aussi ; je me trompe ?— Complètement !— Je pourrais vous bouffer le cul aussi.— Décidément, les jeunes ne savent pas se tenir. Tu n’as pas d’autre vocabulaire ?— Excusez-moi, Madame. Je pensais que ça vous excitait. Et il n’avait pas tort, le bougre ! Mais lui montrer à quel point, je ne pouvais pas m’y résoudre. Le téléphone a sonné. — Bonsoir, chéri— …— Oui, tout va bien. Il fait un peu chaud mais ça va.— …— Non, je ne m’ennuie pas. Tu me manques, oui, mais tu arriveras bientôt.— …— C’est gentil.— …— Oui, oui. Je vais aller ...