1. Lubéron, terre de calme et de sérénité


    Datte: 15/06/2018, Catégories: fh, fagée, extracon, inconnu, grossexe, vacances, campagne, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, coprolalie, confession, totalsexe, occasion, bourge, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... pressait. De temps en temps il quittait ma bouche pour me manger les tétons, puis revenait m’embrasser ; très vite je me suis retrouvée suspendue au-dessus de moi-même, planant, extatique, déglinguée. J’ai joui une première fois, longuement. Il ne s’est pas arrêté de me baiser, profondément, jusqu’à ce qu’une vague encore plus intense ne vienne me tétaniser. J’ai ressenti cet orgasme de la pointe de mes pieds jusqu’à la racine de mes cheveux, allant jusqu’à pisser en même temps. Je sentais que ça allait durer s’il ne s’arrêtait pas, une sensation inoubliable d’orgasme total, fulgurant et presque douloureux, quand il a crié « Stop ! » pour me signifier qu’il n’en pouvait plus. Il était hors de question que je ne savoure pas le moment ; je l’ai serré contre moi en lui demandant de continuer de me baiser plus fort. J’ai dû répéter dix fois « Tu me fais jouir ! » en hurlant alors que je sentais qu’il m’inondait de son sperme en râlant, tous ses muscles tétanisés par la jouissance. En sueur, épuisée, heureuse et honteuse, je me suis écartée de lui pour aller dans la salle de bain. Assise sur un tabouret, j’ai pris ma tête entre mes mains pour pleurer. Il est arrivé quelques instants plus tard, inquiet. — Ça ne va pas ?— Si, ça va. Excuse-moi.— Vous êtes triste ?— Non. Je ne sais pas ce qui m’a pris ; je n’ai pas pu m’empêcher de pleurer. Je dois te paraître ridicule.— Pas du tout, rassurez-vous. Vous avez honte ; c’est pour ça que vous pleurez ?— J’ai honte, mais je ne pleure ...
    ... pas pour ça.— Vous pleurez pourquoi, alors ?— Je ne vais pas te le dire : tu vas prendre la grosse tête…— Dites quand même.— Je n’avais jamais joui comme ça. Aussi fort. Il a repris ma bouche en passant ses pouces sous mes yeux pour étaler mes larmes, et j’ai senti ses mains s’égarer de nouveau à la découverte de mon corps. J’avais chaud, très chaud. Mes seins étaient douloureux comme jamais. J’avais l’impression d’avoir le sexe totalement dilaté, et je sentais son sperme couler le long de mes cuisses. Il s’est redressé devant moi, présentant devant ma bouche son sexe mou. Il a pris ma tête à deux mains pour me faire comprendre qu’il voulait que je le suce. Sucer, ce n’était pas mon truc. J’ai quand même voulu lui faire plaisir en ouvrant la bouche. Mais quand j’ai senti sa queue prendre à nouveau du volume à peine entrée, j’ai ressenti une fierté indicible à lui faire autant d’effet. Je ne pensais plus à ce que je faisais, mais à lui faire du bien. Et lui faire du bien m’a excitée moi aussi. J’aurais pu le sucer pendant des heures, mais il a préféré me prendre dans ses bras, me soulever, et me porter jusqu’à ma chambre. Il m’a déposée debout devant le lit, s’est assis en face de moi, a pris mes mains dans les siennes. — Je sais ce qui ne va pas chez vous, Christine.— Ah oui ? Tu es bien présomptueux… Et qu’est-ce qui ne va pas ?— Vous vous jugez. Vous vous limitez. Vous n’avez pas l’habitude de vous offrir complètement. Vous avez des gênes, des tabous, des blocages.— Mais ...
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