Lubéron, terre de calme et de sérénité - Histoires de Sexe

Lubéron, terre de calme et de sérénité

... me vouvoyer. — Alors, Christine, c’est pas bon de se faire baiser ?— Continue…— Vous aimez la queue. J’en étais sûr. Vous êtes une sacrée salope !— Nonnnn !— Si : vous êtes une grosse salope. Je le sais.— Nonnnngg !— Vous préférez que je vous fasse l’amour plus doucement ? Je sais faire aussi…— Non, continue. J’aime ça.— Je savais bien… Oh, putain, qu’il est beau ton gros cul ! J’adore ça. Et ta moule, c’est la meilleure.— Ouiiii…— T’en veux encore ?— Ouiiii…— Dis-le !— Oui, encore. J’en veux encore. T’arrête pas, je vais jouir ! Il s’est arrêté net. Salaud ! Et s’est reculé, l’air rigolard. Nos regards, comme dans la salle de bain un peu plus tôt, étaient rivés l’un à l’autre au travers du miroir. — Pourquoi tu t’arrêtes ?— J’allais jouir. Attendez un peu. Je suis trop excité. Je me suis allongée à même le sol, sur le tapis. Il était assis sur ses talons, les bras le long du corps, l’air pensif. — Ouf ! J’ai réussi à ne pas cracher, mais c’était limite.— Tant mieux.— Je pourrai vous jouir dans la chatte ?— Non. Pas de ça. On n’a même pas de capote.— Très bien. Je respecte. Je me retirerai.— C’est gentil.— C’est dommage, vous voulez dire ?— Aussi, oui. Mais ce serait trop dangereux.— Dites-moi, Christine, il vous baise bien votre mari ?— Oui, bien sûr.— Aussi bien que moi ?— C’est pas pareil. Toi, c’est la première fois.— Vous baisez souvent ?— Régulièrement, oui.— Régulièrement et souvent, c’est pas pareil.— Disons de temps en temps…— S’il vous baisait bien, ce serait plus ...

... fréquent, non ?— Mais ce n’est pas la question.— Je crois que si. Il bande dur ?— Ça ne te regarde pas. Mais oui, il bande dur !— Il en a une grosse ?— Quelle importance ça peut avoir ?— Elle est plus grosse que la mienne ?— Non.— Plus petite ?— Oui, peut-être.— Peut-être, ou oui ?— Oui.— Beaucoup ? Je me suis redressée pour m’approcher de lui et lui attraper le sexe d’une main. De l’autre, j’ai mis un doigt en travers pour lui montrer à peu près la longueur du sexe de mon mari. — Et en diamètre ? J’ai pris son sexe en faisant un cercle entre mon pouce et mon index ; ça ne suffisait pas pour en faire le tour. Il était décidément bien bâti ! J’ai ensuite retiré ma main pour faire à nouveau un cercle en repliant la première phalange de mon index contre mon pouce. — C’est beaucoup plus petit, alors…— Oui. Mais ça me suffit.— Vous avez bien aimé ma queue, pourtant.— Elle est belle, ta queue…— Et elle est assez grosse pour vous, alors ?— Presque trop, oui. J’ai cru que tu allais me déchirer. Il m’a prise dans ses bras et a cherché à nouveau ma bouche. Il a attrapé mes fesses pour me soulever et m’attirer contre lui. J’ai senti son sexe entre mes fesses quand il me descendait. J’ai passé une main entre mes cuisses pour le guider à la descente suivante et m’empaler profondément. C’est vrai que l’impression d’être totalement remplie est exaltante ; je ne la connaissais pas avant. Je me suis mise à danser sur lui tout en l’embrassant. Il me caressait les fesses, me les écartait, me les ...