1. La vie à la plantation (1)


    Datte: 22/07/2017, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... doute la plus ouverte. Je n'avais jamais eu de problème avec les esclaves, et je haïssais la façon avec laquelle ils étaient traités. Mais je ne savais pas si j'étais capable d'aller jusqu'à coucher avec un noir. Tout ce que je pouvais faire, c'était d'y aller pas à pas et je commençai à me caresser en les regardant. J'arrivai dans la case de Sarah juste avant la nuit. Elle me fit entrer et me dis de me cacher dans le coin le plus sombre de la pièce. Elle dit que la seule lumière venait de la lune par la fenêtre et que dans le coin j'étais invisible. Aussitôt dit, aussitôt fait. Sarah éteignit la lanterne et s'allongea sur le lit. Sans pudeur, elle s'était mise nue car connaissant ce qui allait lui arriver, elle ne voulait pas risquer d'abîmer sa chemise de nuit. Je dois avouer que j'étais terriblement excitée. Nous attendîmes seulement quelques minutes avant d'entendre quelqu'un frapper à la porte. Sarah ne répondit pas. Le visiteur nocturne ouvrit la porte et entra dans la case avant de s'approcher du lit. Il se débarrassa rapidement de ses frusques et s'approcha lentement du lit où se trouvait Sarah. Pendant une seconde, un rayon de lune me dévoila le corps nu de l'homme, et principalement son sexe. Je n'aurais jamais imaginé que ça pouvait être si gros. Je compris pourquoi Sarah appelait ça une queue. Ça n'avait rien à voir avec le pénis des blancs, comme celui de mon mari par exemple. J'ignore quelle taille faisait ce pénis, mais il était au moins trois fois plus long ...
    ... que celui de mon ancien mari et aussi épais que mon avant-bras. En montant sur le lit, l'inconnu se positionna immédiatement entre les cuisses de Sarah. Je l'entendis gémir quand il trouva l'entrée de sa chatte et la pénétra. Ça n'était certainement pas la première fois qu'elle subissait ce type d'assaut car l'homme s'enfonça dans le ventre de Sarah d'un seul coup de rein. Il se mit à aller et venir brutalement dans le vagin sans manifester la moindre tendresse, de passion ou d'amour. Ça n'était que du sexe brut, animal, bestial, mais la puissance de cette scène resta gravée dans ma tête. Pendant un moment je n'entendis que le claquement des chairs qui se rencontraient. Sarah se mit à gémir comme une folle sous les coups de boutoirs de l'homme. Cette copulation bestiale, il n'y avait pas d'autre mot pour ça, la mettait dans tous ses états. Elle adorait chaque minute, chaque seconde de ce coït. Elle commença à hurler de plaisir encore et encore. C'est ce qu'elle devait appeler un orgasme. Le coït s'acheva aussi brutalement qu'il avait commencé. Le noir se mit à grogner, se tendit comme un arc et resta planté dans Sarah, secoué de soubresauts. Et puis ce fut terminé. Je pensais que c'était fini, mais j'avais tort. La porte s'ouvrit à nouveau et un autre homme entra dans la case. Il était déjà nu, monta sur le lit et se positionna entre les jambes de Sarah. Lui aussi s'enfonça dans Sarah sans coup férir. Il fit plus de bruit que le premier homme. Mais sinon, tout se déroula de la ...
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