vive les fêtes ratées (4)
Datte: 18/06/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... chatte. Ce tableau était trop excitant et je sentis moi aussi que je n’allais pas pouvoir me contenir plus longtemps : après avoir frotté mon sexe sur le pourtour de sa bouche, je m’introduisis de nouveau jusqu’au fond de sa gorge, notant que la montée du plaisir empêchait ma sœur de m’accueillir avec autant d’application qu’au début. Toutefois, je ne m’en formalisais pas. Moi aussi, j’étais à bout et le simple fait de revenir dans cet endroit humide et chaud, quitte à heurter parfois ses dents, me comblait. Chacun de nous était d’ailleurs concentré sur son propre plaisir et Hélène ne semblait plus me voir ni m’entendre, subissant juste l’invasion de sa bouche qu’elle me laissait user comme je le voulais, tandis qu’elle achevait de se mener à l’orgasme avec ses doigts. Ses cris et sa respiration rapide provoquaient sur ma verge d’ultimes caresses et je ne pus me retenir alors que je la vis se raidir et ne plus contrôler ses lèvres, laissant couler un important flot de bave de son menton. Ce flot devint vite plus épais et blanc alors que mon sperme se déversa dans sa bouche, se mêlant à sa salive abondante. Si ma sœur eut un mouvement de recul, celui-ci sembla plus dû à la surprise qu’au dégoût car elle s’arrêta vite. Hélène ne lutta pas contre mes mains, bien agrippées à sa tête, qui lui imposèrent mon sexe tout le temps que je me vidais, donnant de derniers coups de reins pour en extraire la dernière goutte. Au contraire, son propre orgasme passé, sa langue et sa bouche ...
... reprirent leur travail et Hélène s’appliqua pour me sucer et me lécher, tandis que je parvenais à peine à rester debout. Les jambes flageolantes, je me retirais pour reprendre mes esprits. Devant le tableau de ma sœur nue à genoux, une main toujours entre ses cuisses, les joues, le cou et la poitrine marqués de foutre, j’eus un peu honte, mais, après avoir repris son souffle, elle me sourit et pointa le bout de sa langue sur ses incisives. Sa main s’activa de nouveau, bien que plus calmement sur son mot de Vénus, et de l’autre elle étala mon sperme sur sa poitrine pour empêcher des gouttes de descendre plus bas que son nombril. — Eh bien on dirait que tu as apprécié. Tu n’as jamais crié aussi fort. — Ha bon ?, répondis-je un peu surpris, ne m’en ayant absolument pas rendu compte. Un peu rassuré par son attitude, je ne m’étais toutefois pas totalement débarrassé de ma gêne à l’avoir si fermement agrippée et souillée, de mon comportement même depuis le repas. — Excuse-moi si... j’aurais peut-être dû... Elle rit, même si la coloration rouge de ses joues était plus due à un rien d’embarras que des restes de sa jouissance : lzolddvp — Non... ça va... c’était assez excitant aussi, pendant le repas quand tu m’as fait du pied... même si c’était un peu trop risqué à mon goût. Et puis... c’était pour un 19 et un 20 quand même. Ma sœur se releva en faisant toujours attention à ne rien laisser couler sur le tapis et s’éloigna vers la salle de bain : — En tout cas, c’est toi qui nettoies tout ...