vive les fêtes ratées (4)
Datte: 18/06/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... va ? — Oui, répondit-elle toujours avec la même petite voix. — OK. C’est vraiment le monde à l’envers : les vieux sortent, tandis que les jeunes font le ménage et restent bien sagement à la maison ! dit-il en continuant de rire. Je vais quand même vérifier les séances. Je priais tout le temps que papa s’assurât de la faisabilité de la chose, mon pied toujours aussi bien au chaud. Maman nous causait d’un air enjoué, mais je n’arrivais plus à comprendre ce qu’elle disait, tant j’étais troublé par Hélène, qui me lançait des regards qui alternaient entre inquiétude et plaisir. Quand mes parents partirent de table, je dus ruser pour parvenir à me lever sans que mon érection fût visible et les raccompagnais même jusqu’à la porte. Ma grande sœur, qui était restée assise, tenta de renouer avec son ironie habituelle : — Tu en fais trop. Néanmoins, ses paroles n’étaient pas très convaincues et je voyais sa poitrine se soulever rapidement. Peut-être était-ce mon imagination, mais en observant cette poitrine, j’en crus discerner ses tétons pointant. Profitant toujours de mon élan, je répondis du tac au tac : — Je fais exactement ce qu’il faut... et ce dont j’ai envie. Viens par là, lui intimais-je. Je m’attendais à ce qu’elle m’envoie sur les roses et me remette à sa place, mais étonnamment, elle obéit et je l’entraînais vers le salon où je la laissais au centre de la pièce debout sur le tapis, tandis que je fermais les rideaux. Je revins derrière elle et posais mes mains sur ses ...
... hanches, puis les remontais pour lui enlever son t-shirt et dégrafer son soutien-gorge. Ses seins ainsi libérés me montrèrent effectivement des mamelons qui semblaient réagir plus que favorablement à l’ambiance et je les fis rouler entre mon pouce et mon index, toujours dans son dos. La respiration de ma sœur était rapide et elle s’accéléra encore quand je déboutonnais son pantalon et glissais mes doigts dans sa culotte. Bien collé à elle, je malaxais un de ses seins tout en explorant son sexe, bien humide. Hélène soupirait et vacillait sur ses jambes. Elle voulut plus écarter les cuisses, mais son équilibre était encore plus difficile et je la soutins jusqu’à ce que nous nous retrouvassions tous les deux à genoux sur le tapis. Là, elle se laissa aller et s’appuya davantage sur moi, sa tête basculant sur mon épaule. Avoir sa joue, son oreille près de ma bouche me donna un instant l’envie de l’embrasser, mais je me concentrais sur sa chatte, mon index et mon majeur bien profond en elle. Dans cette position, je sentais tout le poids de son corps dans le creux de ma main et j’aimais cette sensation de la soulever légèrement alors que je la pénétrais avec toute la force de mon bras droit. Ma main gauche n’était pas plus délicate et je continuais à enserrer sa poitrine assez fermement. C’était la première fois que je me permettais d’être si possessif et directif avec ma sœur, cependant Hélène semblait apprécier ces caresses vigoureuses s’abandonnant totalement à moi. Sa respiration ...