vive les fêtes ratées (4)
Datte: 18/06/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... était fortement asymétrique : loin de sentir la bouche d’Hélène sur mon gland (j’aurais sans doute dû avoir 17 !), je ne sentais que ses cheveux toucher mon bas-ventre et mes bras, immobilisés par ses jambes, ne pouvaient la caresser comme je le voulais. Toutefois, enfin, je goûtais de nouveau à son jus secret et ma tête était enfouie au plus profond de son intimité. Si ma sœur aînée arriva au début à maintenir une position qui ne m’était pas trop inconfortable, ses cuisses finirent par s’ouvrir plus largement, laissant le poids de son corps reposer sur moi. Son dos s’arqua selon des rythmes saccadés. Elle gémissait maintenant sans discontinuer et mes coups de langue s’accélérèrent. Mon nez et ma mâchoire souffraient quelque peu de cette montée vers le plaisir, et mes poumons protestèrent quand Hélène se redressa pour s’appuyer plus profondément encore contre ma bouche, oubliant quelque peu que son frère avait besoin de respirer... mais je n’en avais cure et emporté moi aussi par l’excitation, si j’avais pu, j’aurais empoigné ses cuisses pour coller sa chatte encore plus étroitement à mes lèvres. Heureusement, Hélène jouit avant que je ne sois asphyxié ou que mon nez soit brisé et je sentis son vagin se contracter autour de ma langue tandis qu’elle poussa un feulement rauque qui manqua de me faire venir par son seul son. Ma sœur reprit sa respiration peu à peu et bougea encore son bassin contre mon visage, de façon plus douce cette fois, pendant quelque temps avant de se ...
... relever. J’étais heureux et fier de lui avoir donné cet orgasme, toutefois, je ne retins pas un soupir de soulagement alors que je retrouvais l’air libre et pus de nouveau bouger les bras. Mon visage devait être assez éloquent car, après m’avoir observée, elle pouffa et vint se lover contre moi. — Oh pardon, mon petit frère. J’ai failli te tuer ? Encore un peu groggy, j’accueillis son retour à mes côtés en massant ma mâchoire et je mis un peu de temps à répondre : — Tuer... je ne sais pas, mais c’était physique niveau souffle. J’ai l’impression d’avoir fait plusieurs longueurs sous l’eau ! Hélène rit de nouveau : — C’est vrai que tu es tout mouillé..., dit-elle en me léchant la joue. A petit coup de langue, elle sembla savourer sa propre odeur et enfin sa main se posa sur mes bourses, puis sur ma verge, qu’elle commença à enserrer plus étroitement. J’avais retrouvé mes esprits et profitais de l’instant pour la caresser de nouveau. Immédiatement après un orgasme, je savais sa chatte sensible et dans ma position, je ne pouvais de toute façon pas y accéder, mais ma main se posa naturellement sur ses hanches et, de là, glissa jusqu’à son petit trou qui dans ses grands mouvements, avait lui aussi bénéficié de mon attention. Encore lubrifié par ma salive, je le sentis bien ouvert et la première phalange de mon majeur s’y aventura, suspendant un moment les caresses d’Hélène. Elle gémit et se déplaça de quelques centimètres pour que je puisse mieux continuer. Reprenant sa masturbation, ...