1. vive les fêtes ratées (4)


    Datte: 18/06/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... elle me murmura à mon oreille : — Tu as bien aimé me prendre par là ? Tu voudrais recommencer ? — Oui, tu veux ?, je fis plein d’espoir. — Oui, je veux aussi... mais ce sera pour une autre fois, fit-elle implacable. Je voulus répondre mais son poignet droit s’activa et me fit taire... Elle commença à imprimer un rythme rapide, la main bien serrée autour de mon sexe... trop serrée même car le mouvement tirait assez vivement sur la peau de mon gland, me lançant à chaque fois que sa main parvenait à la base de mon membre. Ce fut l’excitation qui l’emporta sur la douleur, et, en grognant, je vins à mon tour. Hélas, loin de relâcher son emprise, Hélène continua de plus belle, sans doute encouragée par mon orgasme. Elle voulut me parler de nouveau mais j’immobilisais vite sa main par la mienne et son sourire vainqueur se transforma en expression perplexe alors que je l’informais : — Doucement ! C’était plutôt rude. — Ah ?... heu... désolée. C’était trop fort ?, demanda-t-elle en se faisant plus douce, opération facilitée par le lubrifiant de mon sperme. Je pris le temps d’apprécier la caresse avant de répondre : — Pas vraiment : j’aime bien quand tu serres fort, mais le mouvement tirait trop sur la peau. Comme ça, ça serait mieux..., dis-je en guidant sa main et lui montrant à quelle hauteur il convenait de commencer. Hélène, si elle écouta attentivement et effectua quelques mouvements, me faisant produire mes dernières gouttes de semence, s’arrêta vite malgré mes protestations ...
    ... outrées : — Ce n’était qu’une assez bonne note, me rappela-t-elle. — C’est pas juste : je t’ai léché pendant une heure, comme tu voulais, et toi, tu m’as à moitié écorché ! Je me demande qui récompense qui dans cette affaire ! Le front de ma sœur se fronça et je vis de la colère dans ses prunelles : — C’était donc horriblement pénible ? Tu veux arrêter ? OK, me mit-elle au défi. — Non, non... excuse-moi., je m’empresserais de prononcer, observant les yeux d’Hélène passer de la lueur de colère à celle de la victoire. Mais bon... quand même... — Il ne tient qu’à toi d’obtenir plus..., fit-elle en se levant, essuyant distraitement sa main souillée sur son t-shirt qu’elle ramassa avant de sortir de ma chambre. Et plus, je l’obtins effectivement, grâce à un contrôle de vocabulaire en anglais, du merveilleux par cœur stupide, et une interro de math où je pus tricher de façon éhontée. Respectivement 20 et 19, rendus le même jour. Mon large sourire me valut de me faire vanner par un de mes copains, qui se foutait de ma transformation en premier de la classe, mais je savais ce que cela signifiait. Ce sourire dura donc jusqu’à la maison et au repas du soir, où je dévisageais ma chère Hélène en prédateur. Elle capta mon regard et me retourna une expression interrogative... cependant elle ne fut pas la seule à percer mon petit manège. — Hé bien Clément ? Qu’est-ce que tu as à regarder ta sœur comme ça ?, fit ma mère curieuse. Mon cœur manqua un battement, mais je me repris vite, osant : — ...
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