vive les fêtes ratées (4)
Datte: 18/06/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... Oh, c’est juste que j’ai gagné... une sorte de pari. Hélène, tu te souviens de ce que m’avais dit lors de notre dernière grande séance de révision ? — Mmm... mmm, opina-t-elle en me regardant avec comme un air de mise en garde. — Et bien aujourd’hui on m’a rendu un 20 et un 19, je continuais néanmoins. J’en connais une qui va devoir le reconnaître... Mon père et ma mère me félicitèrent bruyamment et j’eus le droit à un verre de vin que je bus sans doute un peu vite. Porté par l’audace et l’alcool, je fis remonter mon pied le long de la jambe de ma sœur pour finir par s’inviter dans son entrecuisse. Hélène se raidit et commença à bafouiller : — Hé, arrête ça... — Oh, ton frère à bien le droit de te charrier un peu !, fit mon père avec bonhomie. En plus, c’est grâce à toi qu’il a remonté la pente. Tu devrais être plutôt contente, non ? Mon pied continua son manège et Hélène ne bougea plus, observée par notre père qui attendait une réponse. Le rouge qui lui montait aux joues m’excita et me poussa à me faire plus insistant encore : du bout du pied, je touchais désormais son mont-De-Vénus. Enfin, d’une petite voix, elle dit : — Oui, c’est bien... — Il faut que vous continuiez, s’empressa d’ajouter ma mère pour mon plus grand plaisir, Moi aussi ma sœur m’aidait pendant mon collège et mon lycée, ça m’a fait un bien fou. Sans pitié, mes attouchements se poursuivirent. Au-dessus de la table, Hélène demeura immobile, les mains plaquées de part et d’autre de son assiette qu’elle ne ...
... touchait plus. En dessous, ses cuisses s’entrouvraient puis se refermaient avec des soubresauts et je sentais parfois son bassin s’avancer pour se frotter plus fortement sur mon pied. Cette attitude étrangement soumise de ma sœur ne faisait qu’augmenter ma confiance. Je me sentais protégé des dieux et favorisé par le destin. Aussi j’osais : — Oui, d’ailleurs... j’ai un assez gros boulot que j’aimerais bien commencer à regarder avec toi Hélène qui nécessite l’accès au PC pour faire des recherches. Comme il est en plein salon près de la télé, je me disais que vous pourriez peut-être aller au ciné ce soir ? — Tu nous fous dehors ?, fit semblant de s’offusquer mon père, qui tourna la tête pour regarder l’ordinateur, effectivement proche du coin canapé. C’est vrai qu’il est pas bien placé ce truc, il faudrait le mettre autre part... — Mais pour ce soir je ne sais pas, dit ma mère qui regarda sa montre. Il est déjà 20 heures... — Je pourrais ranger la table, j’argumentais en fils modèle. Ce n’est pas toi qui te plaignais de ne plus sortir ? Vous êtes larges pour la prochaine séance. Y a le dernier film avec Bacri, il parait qu’il est pas mal du tout. Mon cœur commença à s’emballer lorsque je vis ma mère sourire et regarder son mari avec un haussement de sourcil. Celui-ci se pencha vers Hélène et lui étreignit l’épaule, déclenchant chez elle un serrement de cuisses qui enferma mon pied. — Ah, vraiment, tu nous l’as transformé Clément... Mais toi, tu ne dois pas travailler aussi ? Ça te ...