Chroniques immortelles (18)
Datte: 21/06/2018,
Catégories:
Divers,
Ça fait longtemps que je n’avais pas baisé comme çà, depuis la dernière bacchanale sur Éden pour être précise. Je suis brisée, et après un long bain relaxant, j‘ai dormi comme une brute. J’apprendrai plus tard pour l’anecdote que Antinea a fait la fête toute la nuit et a fini d’épuiser tous les hommes les uns après les autres, la tricheuse ! Mais au matin je suis réveillée par des cris de joie et des youyous venant du harem. Je cherche mes fringues, ne les trouve pas, alors j’enfile une sorte de djellaba qui traîne là. Spectacle étonnant une fois la porte du harem poussée : les filles font la fête à l’une d’entre elles, cette dernière tout sourire et se répandant en « merci, merci » à des mots de félicitations des filles parmi lesquelles je retrouve ma chérie. — Qu’est-ce qui se passe ? — Oh ! Christine, vient ! me répond Antinea. C’est un grand jour pour Leïla. Elle a eu son diplôme d’infirmière ! — Un diplôme ? Ah ? Euh… félicitations ! Mais… je ne comprends pas ? Un diplôme d’infirmière ici ? Mais comment ??? Devant mon air ahuri, Antinea m’entraîne un peu à l’écart vers une pièce annexe que je n’ai pas eu le temps de voir depuis mon arrivée. Avec surprise, je découvre une salle informatique bourrée d’ordinateurs dernier cri, la plupart en cours de connexion sur l’Internet. — C’est quoi çà ? — Eh bien c’est là que les filles font leurs études, ou elles apprennent la théorie de leurs futures activités professionnelles, bien sur ? — Mais… çà va leur servir à quoi dans un ...
... harem ? — T’es bête ! Ça va leur servir à l’extérieur, quand elles s’en vont. Tu fais exprès ou quoi ? — Comment çà ? Elles peuvent quitter le harem ? Mais… je croyais que… Antinea éclate de rire ! — Oh là là, ce que tu peux être conventionnelle… Bien sur qu’elles quittent un jour le harem. On n’est plus au quatorzième siècle ! Assied-toi, je t’explique. Ce n’est pas du tout un harem comme tu l’imagines. Hussein n’a jamais acheté ou enlevé des filles pour mieux les violer ensuite. Je crois bien d’ailleurs qu’il n’a jamais baisé aucune d’elle… Certaines, c’est vrai lui ont été…. disons « confiées » pour diverses raisons. Il y a des coutumes en Arabie qui ont du mal à disparaître. Beaucoup sont des orphelines sans famille qu’il a accepté d’héberger. Il n’exige rien de leur part sauf une chose, qu’elles apprennent un métier qu’elles pourront pratiquer… ailleurs quand elles seront prêtes. — Mais… hier soir après le repas, quand on a baisé comme des folles, c’était bien des filles du harem ? — Oui bien sur, mais elles étaient volontaires. Aucune n’est forcée de quoi que ce soit. Il y en a dans le lot qui ont le feu au cul et toujours partantes pour une séance de baise ! Mais d’autres n’ont jamais participé à une séance de jambes en l’air. Il y en a quelques unes qui sont encore vierge, et d’autre même pas lesbiennes, soupir… Et enfin, il y en a quelques unes qui sont entrées volontairement au harem pour des raisons particulières. La blonde là bas par exemple, Ingrid, eh bien elle ...