1. Aurélie 2


    Datte: 22/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... lors de mon passage dans ces institutions. Mon maître a su détecter mes dispositions et me remettre à ma place.- Pourtant vous sembliez à l’aise dans le monde, dit monsieur Delsol.- Comme vous le dîtes, monsieur, je semblais à l’aise, je semblais seulement.La conversation continua encore longtemps et se tarit finalement. Les invités finirent par prendre congé. Après les avoir raccompagnés, je revins dans le salon, m’agenouiller aux pieds de mes maîtres.- C’est très bien, boniche, tu as assuré. Tu vas avoir ta récompense. Déshabille-toi et installe-toi à quatre pattes sur la table, me dit ma maîtresse.Je me mis dans la position demandée et j’attendis. Ma maîtresse m’enfila la culotte trempée sur la tête, le fond contre mes narines et ma bouche. Je sentis bientôt des doigts me fouiller. Je me mis à onduler sous les caresses. Puis les doigts sortirent et commencèrent à agacer mon œillet. Un doigt, puis deux, puis trois… ce fut quatre doigts qui dilatèrent mon anus, avant de se retirer. Je sentis alors le membre de mon maître me pénétrer lentement le cul. La douleur du début s’estompa bien vite. Puis il accéléra le mouvement. Il me ramona le cul sans douceur, sans tenir compte de mes désirs. Il n’en avait pas besoin, je n’étais qu’une boniche. Mon sphincter commençait à s’habituer à la pénétration et je commençais à aimer, lorsque je le sentis se raidir. Dans un dernier coup de rein, il rugit et se vida dans mes entrailles. Je ressentis une immense frustration. Sans un mot, ...
    ... il sortit et s’en alla. Je restai seule, le cul en l’air, avec l’impression d’avoir l’anus grand ouvert. Ce fut Véronique qui me libéra de ma position.- Allez, souillon, va te laver le cul. Après, tu viendras me déshabiller et me laver.- Bien maîtresse.Je me levai tant bien que mal, essayant de ne pas libérer partout le sperme de mon maître. Je dus serrer les fesses durant tout le trajet et mettre ma main entre mes cuisses. J’eus la main pleine de sperme tâché de matière fécale, car je n’avais pas eu de lavement avant d’être enculée. Je me lavai puis fit ce que ma maîtresse m’avait demandé. J’aimais cette tâche, la déshabiller, être près d’elle, faire glisser sa robe et révéler ses deux globes parfaits, sentir son odeur, toucher le grain de sa peau en la lavant, sentir l’odeur de sa chatte, faire à nouveau glisser un vêtement de nuit vaporeux.Il était deux heures du matin lorsque je terminai d’enfourner les derniers plats dans le lave-vaisselle et le lançai. J’allai me coucher. Etendue dans mon lit je repensai à cette sodomie sauvage, à cette dernière soirée avec mon maître, avant longtemps, et je finis par m’endormir, la main entre les cuisses.Le réveil me tira du lit à neuf heures. Je me levai, fis ma toilette, m’habillai et partis chercher les croissants pour mes maîtres. De retour, je préparai le petit déjeuner et allai les servir au lit.- Vas dans ta chambre, me dit ma maîtresse, tu n’en sortiras que lorsque nous serons partis. Je rentrerai vers vingt et une heures. Tu ...