Ma deuxième rencontre tarifée
Datte: 23/07/2017,
Catégories:
fh,
prost,
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
champagne,
journal,
portrait,
tarifé,
... ma langue sur tout le pourtour de son gland ; mais il me fait comprendre, en se dégageant, qu’il me veut à nouveau. Il me positionne pour me prendre en levrette, je le sens guider sa queue vers l’entrée de mon vagin. D’un grand coup de reins, il me prend. Est-ce sa manière habituelle de faire, ou est-ce pour me faire comprendre que c’est bien lui qui paie, et donc qui décide ? Je n’ai pas le temps de m’étendre dans de longues considérations, ma chatte se fait pilonner avec ardeur tandis que ses mains s’agrippent à mes hanches. J’ondule du bassin, l’accompagnant dans ses mouvements. Je glisse une main sous moi, griffant doucement ses boules, et l’encourageant de soupirs lascifs et de petits cris aigus. Je sens un de ses doigts me masser l’anus. Je sais ce qui m’attend. Je n’ai jamais réellement apprécié de me faire enculer. Je l’ai fait par amour pour l’homme avec qui je partageais mes jours. Ce soir, je vais le faire pour de l’argent. J’en serais presque fière, si je ne redoutais un peu le moment de la pénétration. Le doigt se fait insistant, et parfois me pénètre le cul. Je le sens appuyer sur sa bite à travers la mince paroi qui sépare mon vagin de mon anus. Je ne peux m’empêcher de me poser une question, alors que je lui caresse les boules : fait-il cela pour son plaisir ou pour s’assurer de sa virilité en un geste conquérant ? Mais une fois de plus, ma question restera sans réponse, du moins dans l’immédiat, car je le sens se retirer et présenter son gland sur le ...
... "moins lisse de mes orifices" comme disait Gainsbourg dans "Love on the beat". Je lui chuchote alors de patienter deux secondes ; je cours littéralement prendre mon sac resté sur la table et lui tend le tube de gel, en lui demandant d’aller doucement au début. Je suis sur les genoux, la tête dans l’oreiller, je creuse mon dos au maximum. Je sens son gland s’aplatir sur mon anus, je tends mes bras en arrière attrapant mes fesses à pleines mains pour lui faciliter le passage. Il me pénètre millimètre par millimètre, j’ai l’impression d’être distendue. Je prends de profondes inspirations à chacune de ses progressions, rejetant l’air dans de petits soupirs. Lorsque la couronne de son gland se fraye enfin un chemin en moi, je lâche enfin mes fesses. Un long gémissement s’échappe de ma bouche, je ne sais comment il sera interprété, et je m’en fiche. Je sens comme une brûlure dans mon fondement, tandis que la pénétration se fait maintenant plus rapide, plus enfoncée, plus forte. Les mains se rivent à nouveau à mes hanches, et je l’entends me dire : — Comme il est bon, ton petit cul tout serré… Cette rodomontade toute masculine ne me touche pas tandis qu’il commence ses mouvements. Au début, je n’ose bouger, pourtant je n’ai plus mal. Je me sens élargie, comme engourdie, mais la douleur s’est évanouie. — Baise-moi bien le cul, lui ordonné-je. Rivant violemment ses mains (et ses ongles) dans mes hanches, il démarre au quart de tour, alors que je le suis et le conduis aussi dans ses ...